machine, chambreur, plénitude… Hakimi, l’homme fort du PSG

« L’équipe ne dépend pas d’un seul joueur »se réjouit régulièrement Luis Enrique. Une véritable fierté pour l’entraîneur du PSG, qui place le collectif avant tout. Des individualités ? Il en a besoin, évidemment. Mais il faut qu’ils rentrent dans un moule. Son moule. Celle de son dogme. Sinon, c’est la porte. Mis sur liste noire, Randal Kolo Muani et Milan Skriniar peuvent en témoigner, même si l’entraîneur espagnol, qui ne leur accorde qu’une confiance (très) limitée, assure que ses décisions sont «réversible« . Et ceux qui jouent le plus ont pour mission d’éviter “déconnecter” ou de “relâcher leurs efforts”. Sinon, “ils resteront au frais”promet « Lucho », qui rêve d’avoir « deux titulaires pour chaque poste ». A droite, un seul suffit.

Le seul problème avec Achraf Hakimi, c’est d’éviter de trop le jouer. « C’est l’une des tâches du staff, de s’assurer que les minutes, le - de jeu, sont adéquats. On juge le - de jeu mais aussi le profil physique…