Nick Kyrgios n’a plus joué en Coupe Davis depuis 2019, mais après presque six ans d’absence, il devrait faire son grand retour au premier tour de l’édition 2025, lorsque l’Australie se rendra à Stockholm pour défier la Suède les 31 janvier et février. 1. De retour à la compétition après avoir été gêné par des blessures au cours des deux dernières années, il a été rappelé par le capitaine Lleyton Hewitt.
L’équipe australienne sera dirigée par Alex De Minaur, actuellement 9ème au classement ATP, et Jordan Thompson, 27ème. Il semble peu probable que Kyrgios puisse être aligné en simple, à moins qu’il ne soit démontré lors de l’Open d’Australie qu’il est très en avance dans sa phase de récupération, mais on l’imagine facilement jouer en double avec son grand ami Thanasi Kokkinakis, avec qui il a remporté le titre à Melbourne en 2022. En colère depuis un moment contre tout le monde dans le pays, dont Lleyton Hewitt, le trublion a visiblement mis de l’eau dans son vin.
De Minaur ravi
Nick Kyrgios a fait son grand retour la semaine dernière à Brisbane – après une opération au poignet – où il s’est incliné en trois sets serrés (7-6, 6-7, 7-6) au premier tour face au Français Giovanni Mpetshi Perricard. L’Australien a également disputé le double à Brisbane, associé à Novak Djokovic : le duo a été battu en quarts de finale par les têtes de série n°1 Nicolas Mektic et Michael Venus. A 29 ans, l’ancien numéro 13 mondial repart quasiment de zéro. Il a utilisé son classement protégé pour participer à l’Open d’Australie, mais a estimé que ce serait un «miracle» s’il y était compétitif.
Le retour annoncé du finaliste de Wimbledon en 2022 semble en tout cas très bien accueilli par les autres membres de l’équipe. “J’ai hâte, je n’ai aucun problème à avoir Nick dans l’équipe, ça va être génial», a assuré Alex de Minaur mardi. “Nick est tellement talentueux, il a ajoutédonc que ce soit en simple ou en double, il est dangereux à chaque fois qu’il entre sur le terrain. J’espère qu’il pourra être en forme, j’espère que son poignet va bien« .
