Les urgences hospitalières (ici à Sion) sont souvent surchargées.Image : CLÉ DE CLÉ
En consultation, la taxe sur les cas bénins a été rejetée à la quasi-unanimité par les associations et les partis. Le projet vise notamment à soulager les services d’urgence surchargés.
Une initiative parlementaire demande que les patients se rendant aux urgences pour des cas bénins soient taxés ou que leur quote-part soit augmentée. Le projet a cependant été rejeté à la quasi-unanimité par les associations et les partis lors de la consultation.
Les cantons doivent avoir le pouvoir d’augmenter de 50 francs le montant annuel maximum du ticket modérateur payable par l’assuré pour chaque consultation d’urgence, sauf pour les patients adressés par un médecin, notamment.
Des salles d’urgence bondées
Le nouvel article vise à changer le comportement des gens. Les services d’urgence sont actuellement trop souvent sollicités. Les options de traitement moins coûteuses, comme les cabinets de médecins de famille, devraient être prioritaires.
La Fédération des médecins suisses, l’Association des seniors actifs, la Société suisse de médecine d’urgence et de secours, Santésuisse, la Conférence des directeurs cantonaux de la santé, les Vert-es, le PS et l’UDC rejettent le projet. (at)
Une Américaine accouche dans une station-service
Vidéo: Watson
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