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les entreprises locales sont prêtes à accueillir un surplus de colis

les entreprises locales sont prêtes à accueillir un surplus de colis
les entreprises locales sont prêtes à accueillir un surplus de colis

Les entreprises québécoises de logistique et de livraison de colis, comme WIPTEC, pourraient profiter du vide laissé par la fermeture des sept entrepôts d’Amazon dans le paysage québécois.

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“Nous allons essayer de tirer profit du départ des centres de préparation de commandes d’Amazon car nous pourrions potentiellement remplacer un certain volume d’affaires qui était réalisé directement par eux”, mentionne le PDG de WIPTEC, société spécialisée dans l’entreposage et l’expédition de produits, Martin Ball.

Il pourrait obtenir des opportunités auprès d’entreprises québécoises qui décideront de conserver leurs stocks au Québec tout en continuant de vendre leurs produits sur Amazon.

«Nous allons devenir une alternative pour eux», explique l’homme d’affaires. Pour certains entrepreneurs, cela n’a pas de sens que leur inventaire se trouve ailleurs qu’au Québec.

Cependant, WIPTEC s’apprête à connaître une augmentation significative du traitement des colis.

« Notre centre de Longueuil est immense et notre capacité de transformation n’est que de 30 %. Il pourrait transporter un volume de colis beaucoup plus important.

Au moment de la rédaction de cet article, WIPTEC n’avait fait aucune démarche auprès des entreprises qui pourraient vouloir se tourner vers eux après l’annonce d’Amazon.

“C’est trop tôt”, souligne M. Ball, qui estime que les plus grands perdants de la situation sont les 1.700 salariés licenciés.

Pas en mode recrutement

Malgré l’annonce surprise de mercredi, WIPTEC ne s’écartera pas de son cycle habituel en matière d’embauche de nouveaux employés.

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“Nous ne sommes pas dans une période d’embauches massives en ce moment”, précise M. Ball. Janvier, février et mars sont des mois plus calmes.

« Par la suite, nous reprenons nos périodes d’embauche fin mars. »

Il ne cachera pas que les salariés d’Amazon cochent plusieurs cases pour travailler dans son entreprise.

« Ce sont exactement le même genre de personnes. Cela peut être une bonne nouvelle pour embaucher des personnes qui possèdent déjà les qualifications et l’expérience.

Un marché surévalué ?

Lorsqu’on analyse le départ d’Amazon du Québec, on peut vite penser que la raison principale est la tentative de syndicalisation des entrepôts.

M. Ball, qui connaît bien la réalité de cette industrie, a une autre théorie.

« Amazon s’est développé à grande vitesse au Canada, pensant peut-être que le marché était beaucoup plus grand et beaucoup plus fort.

« Ils ont peut-être réalisé qu’ils disposaient d’une infrastructure de guerre pour un marché qui n’existe pas nécessairement. Ils ont peut-être simplement décidé de rapatrier leur préparation de commandes en Ontario.

«Cela peut avoir du sens sur le plan logistique, mais cela semble mauvais à cause de la syndicalisation.»

– Avec la collaboration de Martin Jolicoeur, du Journal de Montréal et de l’Agence QMI

 
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