Jusqu’au 30 mars, les « flèches rouges » relieront la Savoie depuis Paris avec un aller-retour le samedi et un autre le dimanche, amenant la capitale à un peu plus de 3 heures de Chambéry et à moins de quatre heures de la Maurienne. . Des arrêts qui “s’inscrivent dans une stratégie visant à accroître la part de marché du train par rapport à l’avion”, a annoncé Marco Caposciutti, le président de Trenitalia France, après une cérémonie de bienvenue en gare de Saint-Jean-de-Maurienne. Une bonne nouvelle pour les élus locaux, qui y voient un levier important pour le développement de la vallée, et notamment des stations de sports d’hiver, sans toutefois remplacer les TGV neige de la SNCF qui amènent les skieurs en Maurienne depuis plus de 40 ans. années.
«Il y a de la place pour tout le monde», a déclaré la députée Républicaine Émilie Bonnivard. Les élus locaux attendaient cet arrêt en Maurienne depuis longtemps, mais la SNCF n’a pas pu répondre à leur demande : « Pour être compétitif sur un Paris Milan par rapport à l’avion, la SNCF nous dit qu’il faut réduire le - de trajet. , ce qui rend impossible l’arrêt ici, alors qu’un arrêt est obligatoire à Modane », a expliqué le député. Lors de la réouverture de la ligne internationale, actuellement fermée suite au glissement de terrain de Praz, prévue, espérons-le, pour le printemps, la « Frecciarossa » s’arrêtera quotidiennement à Chambéry et en Maurienne et pas seulement le week-end. -fin, promet Marco Caposciutti.
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