L’investisseur avisé | Transactions chez Métro

Chaque dimanche, nous mettons en lumière des éléments d’actualité financière et boursière qui peuvent être utiles aux investisseurs, mais qui auraient pu passer inaperçus.

Quatre dirigeants de Metro viennent de réaliser des transactions leur permettant de toucher des sommes substantielles.

Le chef des affaires juridiques a vendu pour environ un demi-million de dollars d’actions de l’épicier de Montréal, le 29 novembre. Simon Rivet a vendu un lot de 5 332 actions au prix unitaire de 91,88 $.

Le grand patron Eric La Flèche, de son côté, a empoché un gain brut d’environ 5,5 millions en exerçant des options. Entre le 29 novembre et le 3 décembre, il a exercé 109 300 options au prix d’exercice de 41,16 $ pour ensuite vendre ces titres à des prix de 89 $ à 91 $.

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PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Le président et chef de la direction de Metro, Eric La Flèche, et son chef de la direction financière, François Thibault

Carmen Fortino, vice-présidente exécutive de la chaîne d’approvisionnement nationale et des achats, a réalisé un gain brut de plus d’un demi-million de dollars après avoir exercé 11 500 options à des prix d’exercice les 27 et 28 novembre compris entre 47 et 48 dollars, puis vendu ces titres à des prix de 92 à 48 dollars. 93 $.

Le chef de la direction financière de Metro, François Thibault, a réalisé un gain brut d’un million après avoir exercé le 22 novembre 21 300 options au prix d’exercice de 41,16 $ et vendu par la suite ces titres à des prix variant entre 91 $ et 93 $. François Thibault prendra sa retraite au printemps.

Dollarama a perdu le soutien de la Financière Banque Nationale en milieu de semaine. L’analyste Vishal Shreedhar a retiré mercredi sa recommandation d’achat sur les actions du détaillant montréalais après avoir vu les plus récents résultats trimestriels. Il dit qu’il maintient une vision positive du titre à moyen terme, mais étant donné la valorisation actuelle, les comparaisons difficiles d’une année sur l’autre et les investissements importants à moyen terme, il s’attend à ce que le titre oscille dans une fourchette jusqu’à ce que les ventes à magasins comparables augmentent. revient aux niveaux historiques. Désormais, 7 analystes sur 12 suggèrent d’acheter.

Le PDG de CAE vient d’acquérir pour près de 660 000 $ d’actions du fabricant montréalais de simulateurs de vol. Marc Parent a réalisé cette transaction après avoir réalisé le même jour un gain brut de 1,9 M$ en exerçant des options. Le 29 novembre, il a exercé un total de 343 000 options au prix d’exercice de 27,14 $ pour ensuite vendre ces titres au prix unitaire de 32,70 $. Il a ensuite acheté un bloc de 20 000 actions au prix unitaire de 32,93 $. CAE a annoncé le mois dernier que Marc Parent quitterait son poste en août prochain. Son successeur n’a pas encore été nommé.

Un administrateur à Cogéco vient d’acheter pour plus de 150 000 $ d’actions de Cogéco Communications. Robin Bienenstock a acheté un lot de 2 156 actions le 29 novembre au prix unitaire de 69,66 $. Elle s’est retirée du conseil d’administration de Cogeco Communications cette année pour se joindre à celui de la société mère Cogeco. Elle a siégé pendant trois ans au conseil d’administration de Cogeco Communications.

Pour préserver la prospérité des générations futures, le Canada a besoin d’un équivalent canadien du DOGE (Department of Government Effectiveness) que Donald Trump vient de confier à Elon Musk. C’est ce qu’affirme le gestionnaire de portefeuille adjoint Paul Beattie de la firme montréalaise BT Global Growth. Il souligne dans sa lettre financière mensuelle publiée cette semaine que l’idée du gouvernement Trudeau d’emprunter de 6 à 7 milliards $ pour émettre des chèques de 250 $ et réduire temporairement la TPS sur certains produits démontre un manque de fonds du gouvernement. des idées qui n’offrent aucun avantage économique durable.

Les entreprises canadiennes pourraient profiter de la déréglementation américaine et de la demande accrue en énergie, estime le stratège Sébastien Mc Mahon chez iA Gestion mondiale d’actifs. Que ce soit par la déréglementation ou par des mesures de relance qui stimuleront la demande des consommateurs américains, il note dans son commentaire mensuel publié cette semaine que des thèmes « intéressants » émergent.

Il s’attend par exemple à ce que l’administration Trump encourage la production de pétrole et de gaz, tout en facilitant l’obtention de permis pour les oléoducs et les gazoducs. « Les entreprises énergétiques canadiennes pourront ainsi profiter d’une demande accrue. Et avec la réduction prochaine des subventions liées au changement climatique et d’éventuels allègements fiscauxLoi sur la réduction de l’inflationLe programme de subventions du Canada pourrait devenir relativement plus avantageux pour les investissements étrangers dans le secteur de l’énergie propre. »

Il ajoute que le Canada sera également soumis à des pressions croissantes pour augmenter ses dépenses en matière de défense et de sécurité, rendant ainsi les entreprises canadiennes de ce secteur plus attractives en cas d’augmentation du budget de la défense.

Titres québécois de Cogéco, WSP, Image de synthèse, iA Groupe financier, Rogers Sucre, Banque Laurentienne, Le piège, Métro, AirCanada, Pouvoir Corporation, CAE, Banque Nationale et AtkinsRéalis tous ont atteint cette semaine un sommet en 52 semaines à la Bourse de Toronto.

En revanche, celui de Groupe TVA a atteint son plus bas niveau des 52 dernières semaines cette semaine.

 
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