Quelles citadines voir au Mondial de Paris 2024

Vendues moins chères, ces petites voitures séduisent les Français pour leur polyvalence. Cette année, Porte de Versailles plusieurs nouveautés majeures seront présentées pour la première fois au public. Électrique, hybride ou thermique, il y en a pour tous les budgets et tous les besoins. Caradisiac vous présente la liste des nouveautés présentes au prochain Mondial de l’Automobile de Paris.

Quelles citadines voir au Mondial de Paris 2024

R5 : la star incontestée

La nouvelle citadine électrique de Renault a fait son premier bain de foule au sens littéral du terme. La R5 E-Tech est exposée dans sa version la plus chic, équipée d’un moteur de 150 ch et d’une grosse batterie de 52 kWh offrant 400 km d’autonomie. Son prix de vente avant bonus démarre à 33 490 €. Les versions « grand public » à moindre prix arriveront en 2025. Il faudra alors compter sur une batterie de 40 kWh (autonomie 300 km) et des motorisations moins puissantes (95 ou 120 ch).

Alpine A 290 : la R5 survitaminée


La très attendue Renault R5, dont la commercialisation est imminente, sera l’une des stars du prochain Mondial de l’Automobile de Paris. Mais il faudra aussi compter sur sa version sportive, concoctée par Alpine, l’A290. Cette citadine dont le moteur électrique a été porté à 220 ch dans sa version la plus radicale. Elle bénéficie de réglages spécifiques : suspensions, freinages, pneus et châssis ont été optimisés dans le but de « rendre la voiture ludique », selon Alpine. Une version un peu plus raisonnable, développant 180 ch sera également proposée. Dans les deux cas, ils sont alimentés par une batterie de 52 kWh, promettant une autonomie de 380 km.

Kia Picanto : la résistante

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La petite citadine de Kia persiste et signe. La nouvelle génération de Picanto est exposée sur le stand du constructeur coréen au Mondial de l’Automobile de Paris. Déjà testé sur Caradisiac, il affiche désormais une face avant ultra-agressive en plus d’un bon niveau d’équipement de série. Sous le capot, les clients ont le choix entre un tout petit bloc essence de 63 chevaux ou un moteur poussé à 79 chevaux, avec une transmission manuelle ou automatique dans ce dernier cas. Même si l’équipement de série est bien plus généreux que celui des micro-citadines d’antan, on doit malheureusement composer avec des prix élevés : 15 990€ dans la Motion d’entrée de gamme avec le petit moteur et jusqu’à 19 490 € pour la variante de 79 chevaux avec transmission automatique en finition GT-Line.

Dacia Spring : pas de bonus mais toujours un super prix

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Longtemps titulaire du titre de « voiture électrique la moins chère du marché », la Spring a vu ses ventes décliner avec la privation du bonus écologique dû à son origine. Les véhicules fabriqués en Chine et vendus en Europe en sont désormais privés. La version restylée (et bien améliorée) par Dacia est exposée sur le stand du Mondial de Paris. Il présente un design moderne, de nombreux équipements de confort supplémentaires, le tout pour une autonomie de 225 km. Et malgré l’émergence des redoutables Citroën ë-C3 et Fiat Panda, dont le prix sera ramené à 19 000 €, une fois le bonus déduit, la Spring résiste et maintient un excellent rapport qualité/prix puisque ses tarifs débutent à 18 900 €.

ID2 : l’offensive de Volkswagen dans l’électrique low-cost

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Volkswagen expose le concept « ID.GTI » au Mondial de l’Automobile de Paris. Une version sportive électrique basée sur le concept ID2.all, la nouvelle citadine accessible de la marque allemande dont la commercialisation est prévue pour 2025. Avec ce show car, Volkswagen en profite pour rebattre les cartes des appellations. L’étiquette sport de la GTX électrique disparaît et le nom GTi continuera également dans la version électrique. Longue de 4,10 m, l’ID GTi est parée pour le show avec des jantes de 20″ et un kit carrosserie gonflé aux hormones. Elle est propulsée par un moteur électrique d’environ 220 ch et bénéficiera d’un différentiel à glissement limité mécanique. Cette parfaite concurrente de l’Alpine A290 est attendue pour 2026.

Citroën C3 : Attention, carton en approche

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La quatrième génération de Citroën C3 fait également son premier bain de foule porte de Versailles. Avec un design unique, la citadine Citroën prend des allures de SUV et propose pour la première fois une version électrique. Son point fort ? Un prix de vente au rez-de-chaussée. Comptez 14 990 € pour la version thermique et 23 300 € pour l’électrique (bonus de 4 000 € non déduit), ce qui place la Française comme l’une des voitures les plus accessibles du marché.

LeapMotor T03 : poussé par Stellantis

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Le groupe Stellantis commercialise cette petite voiture chinoise en Europe, au prix de moins de 20 000 €. Il est donc proposé à partir de 19 500 €, voire 18 900 € avec une offre de lancement. Fabriqué en Pologne, le Leapmotor T03 pourrait bientôt devenir la voiture électrique la moins chère du marché si elle parvient à obtenir le bonus écologique. Certes, nous ne parlons pas d’un modèle particulièrement bien fini ou agréable à conduire. Avec ses batteries d’une capacité de 37,3 kWh garantissant une autonomie maximale de 265 kilomètres (cycle WLTP) et un moteur de 95 chevaux, le T03 ne casse pas trois pattes de canard.

Mini 3 JCW : électrique… pour le moment.

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Mini présente sur son stand la Cooper JCW dans sa version électrique. La citadine affiche ici une puissance de 258 ch et de belles performances avec un 0 à 100 km/h réalisé en 5,9 secondes et une vitesse maximale de 200 km/h. Sa batterie de 54,2 kWh lui confère une autonomie de 371 km. Beaucoup moins en mode sport. Cette version présente une signature lumineuse « John Cooper Works », des bas de caisse noirs brillants, un aileron arrière, des prises d’air rouges et un diffuseur arrière plus élaboré. Son prix ? 42 350 €.

 
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