Alors que les éditeurs flamands ont conclu un accord avec bpost pour la distribution de leurs journaux du 1euh En juillet, la situation reste floue en Wallonie. Le refus des syndicats francophones de transférer l’activité à une filiale du groupe soulève son lot d’interrogations.
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Journaliste au département Société
Par Julien BialasPublié le 29/04/2024 à 16h24
Temps de lecture : 1 min
Dces mois. Les éditeurs de presse francophone ont deux mois pour trouver une solution de diffusion de leurs produits auprès de leurs abonnés. Pour rappel, le 30 juin, le système de concession presse prend fin. Dans le cadre de ce régime, un opérateur de « dernier recours » est désigné et rémunéré par l’État pour distribuer la presse là où les éditeurs ne trouvent pas de distributeur. Historiquement, bpost est cet opérateur. Mais suite à une décision gouvernementale, la concession a disparu au profit d’un crédit d’impôt (pour les éditeurs) au 1euh Juillet. Au passage, l’intervention de l’État passe de 175 millions d’euros par an à environ 50 millions.
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