qui perd et qui gagne

Magasins de vêtements en détresse, vendeurs de produits de beauté en pleine forme… Le commerce de détail traverse une période de tous contrastes, comme le montre le tableau dressé à partir des observations de terrain du courtier immobilier Cushman & Wakefield.


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Journaliste au département Société

Par Julien Bosseler

Publié le 18/04/2024 à 16h11
Temps de lecture : 3 minutes

Le chiffre est impressionnant : 111 000 m² de surfaces commerciales ont trouvé de nouveaux occupants, principalement des locataires, au premier trimestre, ce qui représente un taux d’occupation près de 30 % supérieur à la moyenne des cinq dernières années (à période comparable). Ces données contenues dans le dernier baromètre trimestriel Battement de marché de Cushman & Wakefield, principal acteur en Belgique dans le courtage immobilier d’objets commerciaux (avec 30% de part de marché), cela signifie-t-il que le commerce de détail est en pleine forme ? Pas vraiment ! D’une part, ces chiffres sont artificiellement gonflés par le récent rachat de chaînes de magasins (Dreamland par Toy Champ et une partie de Fun par Toy Champ et Jysk). Et d’un autre côté, la santé du secteur est très mitigée.



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