Après la perte d’un porteporte en plein vol, décollement d’un capot moteur et autres problèmes techniques, Boeing accumule les problèmes et ternit son image auprès du public et des entreprises. Et ce n’est pas fini…
Selon les informations d’un lanceurlanceur alerte, l’ingénieur Sam Salehpour qui s’est entretenu avec le New York Times ainsi que les documents envoyés à la FAA, à l’assemblée du fuselagefuselage du 787 Dreamliner serait de mauvaise qualité. Par conséquent, en accumulant les vols, il pourrait se détériorer et menacer leintégritéintégrité de l’avion. Selon l’informateur, employé de Boeing depuis dix ans, le problème vient du fait que pour faire des économies, l’avionneur fait appel à des sous-traitants pour construire les différentes parties de l’avion.
La culture du profit avant tout
Une fois assemblées, les différentes pièces ne s’emboîteraient pas correctement. Le jeu entre les pièces s’aggraverait à chaque vol et accélérerait l’usure. Le lanceur d’alerte pointe du doigt la culture interne de Boeing, où la sécurité passe avant la production et le profit des avions. En réponse à ces allégations, Boeing a nié l’existence de ces problèmes de sécurité et est confiant dans son processus d’assemblage. Reste qu’avec l’accumulation de pannes sur les avions du constructeur, le doute… plane.
