Libanais au Dakar, tarte meghle et secrets de Jane B. : la Weekender

Dans Le Weekender, The Orient-Le Jour vous propose une sélection d’articles traitant de culture, lifestyle, mode, sujets sociétaux, à (re)lire pendant le week-end. Pour faire une pause et tenter de se déconnecter (un peu) de l’actualité brûlante.

Pendant près de soixante ans, elle a tout partagé sur la vie de l’égérie de Gainsbourg, jusqu’à sa dernière soirée. A l’occasion de la parution de « It’s Jane, Birkin Jane » (éd. Actes Sud), la photographe Gabrielle Crawford raconte à Karl Richa une amitié qui se voulait au départ discrète, mais qu’elle souhaite désormais partager.

Quatorze jours, treize étapes et huit mille kilomètres. Pour cette 47e édition, encore plus éprouvante que les autres, le Dakar accueille pour la première fois deux Libanais, Ihab Hakim et Rafic Eid, sur les 148 candidats de cette catégorie. A Lisa Goursaud, les deux concurrents évoquent leur parcours, leur préparation au rallye et leurs ambitions pour la suite.

Ils maîtrisent l’art du spectacle et l’ont démontré une fois de plus. Pour leur premier concert de 2025, à Abu Dhabi, dans un stade de 43 000 places, les membres du groupe britannique Coldplay ont vu les choses en grand. Très grand. Maya Ghandour vous raconte l’événement « intergalactique » et ce qu’il en reste, après le spectacle.

Un esprit oriental, des saveurs comme le meghle ou le halawa, et des plats comme le riz aux fruits secs et aux châtaignes mais réinterprétés en… tartes. C’est le concept du nouveau restaurant d’Achrafieh, simplement nommé La Tarterie, et imaginé par Maroun Sfeir. Nagi Morkos vous raconte tout de cette aventure, tant personnelle que culinaire.

Elissa, Ragheb Alama, Nancy Ajram, Carole Samaha et Majida el-Roumi… Après l’élection de Joseph Aoun à la présidence de la République libanaise, des figures marquantes du brillant Liban – d’habitude peu bavard sur les sujets politiques – ont affiché leurs félicitations au nouveau chef de l’Etat, voire leur proximité avec lui. Certains lui ont même écrit des comptines. Tour d’horizon des principales réactions, avec Raphaël Abdelnour.

“Parce qu’aucune femme ne veut plus souffrir pour être belle”, la Libanaise Jennifer Chamandi souhaitait des créations de mode qui soient confortables, mais qui renforcent aussi l’estime de soi. Qu’elle intègre un seul détail signature ou quelques clins d’œil à Audrey Hepburn, sa muse inoxydable, elle relève tous les défis. Fifi Abou Dib vous le présente.

Engagée pour la cause LGBT+ depuis son plus jeune âge, journaliste impliquée dans la sphère politique, la Libanaise Sonia Tir a fait entrer dans son confessionnal des personnalités publiques pour son livre LGBT en politique, qui sort du placard (Ed. Fayard). Au fil de ses recherches, elle a même fait des découvertes plutôt intrigantes – et amusantes – qu’elle a partagées avec Mélissa Chidiac.

Réfugié politique, il a laissé certaines de ses œuvres dans son atelier de Damas, d’autres dans les cellules de la prison où il était incarcéré. Mais de la Syrie à la France, en passant par Beyrouth, le dessin a toujours été pour lui une arme de légitime défense. Dans Littéraire, Najah Albukaï parle de son rapport à ce moyen d’expression et de l’impact des événements sur son coup de pinceau.