INFOS LE FIGARO – Contrôles réguliers, enregistrement de chaque entrée et sortie de sa cellule, rapports systématiques des gardiens… Dans la prison de Bordeaux-Gradignan, l’humoriste purge sa peine sous stricte surveillance.
A la prison de Bordeaux-Gradignan, l’incarcération de Pierre Palmade lundi dernier n’est pas sans conséquence pour les surveillants pénitentiaires. « Nous devons nous relayer toutes les heures, de jour comme de nuit, car c’est une priorité pour la direction »nous confie une Source proche du dossier. Lors du contrôle quotidien des barreaux, un contrôle visuel de la cellule de Pierre Palmade doit également être effectué en présence d’un agent et de deux agents. Déjà en sous-effectif, les surveillants de prison sont désormais confrontés à une nouvelle contrainte “en utilisant” – bien que justifié par l’art “l’état des médias” du prisonnier.
Dans la note de la direction interne des détenus, cela Le Figaro a pu consulter, les instructions sont claires. « Le statut des médias au niveau national (par Pierre Palmade, éd.) implique deux observations quotidiennes (service du matin et du soir) qui reconstituent l’attitude et le comportement de la personne détenue. lit-on dans le document. Je vous invite à signaler autant que possible…
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