– Ascot : rencontre entre Regé-Jean Page et Longines
Compétition d’élégance garantie lors de la deuxième journée de courses hippiques à Royal Ascot. Nous y étions.
Publié aujourd’hui à 8h34
L’acteur britannique Regé-Jean Page, ambassadeur Longines de l’élégance.
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L’ambiance est électrique ce mercredi 19 juin, deuxième jour de la célèbre course hippique Royal Ascot, dans le Berkshire en Angleterre. En effet, aujourd’hui, c’est William, le prince de Galles, qui est attendu. Mais pas seulement. Qu’on se le dise, être invité à Royal Ascot est une expérience holistique. Tout dépend de qui et de ce à quoi vous avez accès, bien sûr. En ce qui nous concerne, c’est Longines, chronométreur officiel de la très chic course depuis dix-sept ans, qui nous a invité. Ceci, dans le cadre de la enceinte royaleou la loge royale, non loin de celle qui accueille la famille royale britannique.
Pourtant, chez elle, il y a tout un code à respecter. Déjà au niveau vestimentaire, le port d’un chapeau, mais pas n’importe lequel, est absolument obligatoire pour les dames. Quant aux messieurs, le costume du matin et un chapeau à haute couronne sont requis. Le résultat est pour le moins surprenant lorsqu’on y aborde pour la première fois.
Le chic anglais
Arriver au parking Royal Ascot est une aventure en soi. Selon le plus aristocratique des Britanniques, c’est l’endroit où il faut être. C’est ainsi que les visiteurs locaux se retrouvent tous attablés autour de tables élégamment dressées à proximité de leur voiture. Là, le champagne et le thé coulent à flots, sandwichs au concombre et les scones sont également dévorés, avant ou après être allés assister à une course. Et sans jamais ôter son chapeau, bien sûr! Tout un monde et tout un spectacle absolument unique en son genre. De notre côté, nous sommes pris en charge et devons montrer nos accréditations à la sécurité. Selon les règles, le couvre-chef doit mesurer 10 centimètres à sa base. Nous ne mesurerons pas les nôtres mais nous vérifierons soigneusement que tous les sésames sont en notre possession.
Il est temps d’entrer dans l’antre de l’hippodrome. Ici, on croise aussi bien des seigneurs que des jeunes femmes qui semblent réunies pour un enterrement de vie de jeune fille. L’endroit regorge de monde. Les Britanniques ne se précipitent pas, nous le savons bien. Ils attendent tranquillement leur tour pour parier ou commander une bière, un Pimms ou un expresso martini. Rendez-vous au deuxième étage, dans le dressing Longines.
Longines, chronométreur officiel de Royal Ascot pour la 17ème année.
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famille royale
De là, la vue sur les hippodromes est imprenable. On parie sur les courses à venir, on déjeune et on observe discrètement l’arrivée du très beau Regé-Jean Page. L’acteur britannique, connu notamment pour son interprétation du duc d’Hastings dans la première saison de La Chronique des Bridgerton, est ambassadeur de l’élégance de la marque horlogère depuis 2021. Son charme, en costume du matin avec un chronographe Conquest au poignet, est captivant. Il est là pour la première fois et s’offre une séance photo avant de déjeuner en toute tranquillité. Donc sans les invités Longines.
L’ambiance à Royal Ascot, mercredi 19 juin.
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L’occasion pour nous de saluer Camilla, la reine consort du Royaume-Uni, qui arrive en calèche, suivie de William. Mais aussi, Sarah Ferguson et ses filles, les princesses Eugénie et Béatrice, ainsi que la délicieuse Zara Phillips Tindall, fille de la princesse Ann. Bref, tout ce beau monde se retrouve avant de rejoindre la loge royale et on arrive à se rapprocher et à commenter, comme eux, les cavaliers habiles, la météo mais surtout les plus belles tenues, et les moins belles aussi !
Hector Crouch sur Doha (à droite, argent) remporte les Kensington Palace Stakes le 19 juin à Royal Ascot.
Alan Crowhurst/Getty Images pour l’hippodrome d’Ascot
Il sera alors temps de les suivre et de regagner notre loge où Longines, qui s’apprête à remettre les prix aux gagnants, nous réserve encore de belles surprises. Une séance photo et des scones, avec leurs crème cailléecette crème épaisse qu’il faut tartiner d’un peu de confiture de framboise. Outrageusement délicieux !
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Carole Kittner Est journaliste pour le magazine Tribune des Arts depuis 2021. Spécialiste de l’art contemporain, de l’horlogerie et de la joaillerie, elle a travaillé pour Edelweiss et travaille dans les relations publiques dans le monde du luxe depuis 2001. Plus d’informations
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