Invité sur le plateau de “C à vous”, mardi 7 janvier 2025, Laurent Ruquier a évoqué ses poils sur la langue. Un petit problème d’élocution qui ne l’a jamais gêné mais qu’il a quand même “corrigé un peu” après une remarque d’un directeur de programme d’Europe 1.
Lui aussi a des « casseroles », comme il aimait appeler les archives parfois embarrassantes de ses invités qu’il révélait dans « Les enfants de la télé ». Invité sur le plateau de “C à vous”, mardi 7 janvier 2025, pour promouvoir la pièce qu’il a écrite, “La Joconde parle enfin”, qui sera jouée au studio des Champs-Élysées à partir du 23 janvier, Laurent Ruquier avait droit à la diffusion d’un extrait de sa première apparition à la télévision. C’était en 1987, dans l’émission « Paris Kiosque », sur France 3. « C’est très mauvais », dit-il en se voyant en costume et nœud papillon, en train de faire une série de jeux de mots pour une chronique sur la famille royale d’Angleterre. .
La chronique s’intitulait « Comme un s’cheveux sur la z’oupe », en référence à ses poils sur la langue. « Étiez-vous très gêné à ce sujet ? », a demandé Mohamed Bouhafsi. « Étonnamment, je n’étais pas très gêné parce que je ne m’en rendais pas vraiment compte. Je vous le jure, c’est vrai”, a répondu Laurent Ruquier. « Avant qu’on fasse vraiment de la radio – à l’époque je n’avais pas fait grand-chose – on ne s’entendait pas vraiment et non, pour moi, ce n’était pas un traumatisme. » C’est une remarque d’un directeur de programme d’Europe 1 qui l’a poussé à « corriger » ses poils sur sa langue.
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« Vous êtes nuls sur les ondes et en plus vous avez un poil sur la langue »
“Un jour, sur Europe 1, un réalisateur, Patrice Blanc-Francard, quand j’étais auteur pour Maryse Gildas et Jean Amadou, a dû me dire : ‘Non, mais tu es mauvais pour l’air et, en plus, tu es mauvais pour l’air’. tu as un poil sur la langue ». C’est alors que je suis allé voir un orthophoniste et j’ai corrigé un peu. Je l’ai encore un peu, mais je l’ai corrigé, j’ai travaillé, mais pas longtemps, ça a duré à peine un mois”, a déclaré le présentateur de “Gross Têtes”. Et d’ajouter : “C’est une question de concentration […]une question de respiration, de confiance en soi. Il réapparaît très souvent dans les moments de stress, si j’en ai un premier, je n’ai pas le trac, mais les poils sur ma langue reviennent à ce moment-là. »