Face à la contre-attaque de Justin Baldoni, l’équipe juridique de Blake Lively a publié un communiqué, appelant à l’arrêt des « nouvelles offensives ».
Pour eux, il ne s’agit pas de « ma parole contre la sienne ». Les avocats de Blake Lively se sont penchés sur le dernier rebondissement avec une nouvelle déclaration. Il y a une semaine, Justin Baldoni a porté plainte contre le « New York Times » pour diffamation, estimant que c’était l’actrice qui était impliquée dans « une campagne de diffamation bien calculée ».
Lundi 6 janvier, l’équipe juridique de Blake Lively a envoyé un communiqué via le magazine « People », assurant que la « plainte pour harcèlement sexuel » de l’actrice était étayée par des preuves « solides » : « Il ne s’agit pas non plus d’une ‘querelle’ à propos de ‘création’. différences », ni un « il dit cela/elle dit cela ». Comme nous le prouverons, Wayfarer [Studio de Justin Baldoni, NDLR] et ses associés ont mené des opérations de représailles totalement illégales, simplement parce que Blake Lively a tenté de se protéger ainsi que ses collègues sur le tournage d’un film. En réponse, ils préfèrent lancer d’autres offensives contre lui. »
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Rendez-vous devant le tribunal fédéral
Selon les avocats de l’actrice, il s’agirait d’une « tactique classique » pour détourner l’attention « de ce type d’accusations » : « Ils accusent la victime en laissant entendre qu’elle aurait fouillé, qu’elle aurait mal compris la situation ou qu’elle ont menti », poursuivent-ils. « Une autre tactique consiste à inverser les rôles de la victime et de l’agresseur. Ce sont des concepts qui normalisent les accusations de fautes graves. »
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En conclusion, l’équipe juridique de Blake Lively estime que faire des « déclarations dans les médias » comme Justin Baldoni et son équipe l’ont fait dans le passé ne constitue pas une défense véridique. « Nous continuerons de faire valoir les allégations de Blake Lively devant la Cour fédérale, où c’est la primauté du droit qui détermine qui l’emporte, et non les hyperboles et les menaces. »
Pour rappel, c’est la plainte de Blake Lively contre Justin Baldoni pour des faits de harcèlement sexuel survenus sur le tournage de leur première (et dernière) collaboration, « Jamais Plus » et l’enquête choc du « New York Times » qui ont déclenché cette affaire. . Dans le même temps, elle accuse également le producteur et son équipe d’avoir mené une campagne de diffamation contre elle en ligne, à travers divers procédés. Le 1er janvier, Justin Baldoni a annoncé qu’il poursuivait le « New York Times » pour diffamation pour 250 millions de dollars.