Après un épisode best-of entre Noël et le Jour de l’An, Un dimanche à la campagne était de retour sur France 2 avec un nouvel épisode. Trois nouvelles célébrités ont embarqué pour un séjour bucolique, invitées par Frédéric Lopez : le chanteur Michel Fugain, l’escrimeuse Manon Apithy-Brunet et Major Mouvement, de son vrai nom Grégoire Gibault, le kiné qui compte près de 2 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. Ensemble, ils ont parlé directement à l’hôte.
“Sa tête a heurté un pylône” : Major Mouvement se confie sur l’accident de voiture de son père à Un dimanche à la campagne
Après s’être installés dans la maison et avoir fait les premières présentations, les trois invités ont pris place dans la grange pour revenir sur leur enfance. Michel Fugain a été le premier à prendre la parole, il a parlé de ses parents et de ses débuts dans la musique. La médaillée olympique, Manon Apithy-Brunet, est revenue sur ses débuts sportifs mais aussi sur sa grande timidité. Alors, « le kiné le plus célèbre de France »comme l’a présenté Frédéric Lopez, s’est également prêté au jeu des confidences. Major Mouvement a été très ému lorsque l’animateur lui a demandé de parler de son enfance. « J’ai grandi en Seine-et-Marne, avec ma mère et mon frère. Dès le début, les choses ne se sont pas passées comme prévu, mes parents ont divorcé quand j’avais 2 ans, c’est assez typique. Un an plus tard, mon père a eu un gros accident de voiture. Il était récemment divorcé, il avait 32 ans, il allait dîner avec ses amis et il a raté un tour. Sa tête a heurté un pylône et il a été blessé à la tête.», a avoué Grégoire Gibault, très ému.
“Je n’en parle pas publiquement” : Major Mouvement se confie sur son enfance en Un dimanche à la campagne
«C’est difficile pour moi d’en parler parce que Je ne m’attendais pas à être submergée par une telle émotion. Je n’en parle pas publiquement.» a ajouté le major Mouvement, très perturbé par ses propres confidences. Il a ensuite expliqué son enfance ponctuée de visites chez son père, dans un monde médical qu’il avait du mal à comprendre à son âge. “Il y aura deux ans entre le coma, l’hôpital, le centre de rééducation”il a résumé. “Mon père nous a dit : ‘J’ai parfois envie de me faire foutre mais je ne le fais pas grâce à toi’. Pour lui, cela signifiait que je t’aime plus que tout“a-t-il confié à Frédéric Lopez. Le physiothérapeute a également parlé de son retard de croissance et du fait qu’il avait du mal à trouver sa place, ce qui ne l’aura pas empêché de réussir sa vie d’adulte.