François Ier parle de son amour des confitures dans une vidéo réalisée par une entreprise Châteaubernarde

François Ier parle de son amour des confitures dans une vidéo réalisée par une entreprise Châteaubernarde
François Ier parle de son amour des confitures dans une vidéo réalisée par une entreprise Châteaubernarde

Quand François Ier découvre les confitures et charge son apothicaire d’en découvrir la recette.

Reproduction CL

«Je vois une liqueur des Dieux», répond l’apothicaire. « Mais voilà, faisons une confiture avec cette liqueur », ordonne le roi. Problème : l’histoire, librement inspirée de faits historiques, se déroule en 1540. A cette époque, le cognac n’existait pas encore, et « les confitures que l’on appelle aujourd’hui confiserie étaient réservées aux tables aristocratiques », explique Aurélie Pinard, la gérante du Tadjam. jams et le créateur de cette vidéo.

« C’est plus une parodie que du réel, il n’y a pas de premier degré. »

Nostradamus écrit donc la recette, et l’envoie dans le futur. Aurélie Pinard le reçoit et s’en inspire pour créer sa gelée des rois, à base de cognac. Elle prête également sa voix aux personnages de cette vidéo qui se veut à la fois publicitaire, drôle et pédagogique.

Un projet de stage

Il a été réalisé en une semaine, fin juin, par trois étudiantes, Diana Ionasku et Yukiko Pinard, étudiantes à Lisa d’Angoulême et Robin Soulagnet, qui prépare un Diplôme National des Métiers d’Art et du Design en graphisme à Aurillac. Il est venu faire un stage au printemps à Tadjam.

«Je leur ai donné le scénario», raconte Aurélie Pinard qui a fait des recherches sur François Ier.est« grand consommateur de goodies ». « Nous étions dans un studio d’animation chez nous. » « J’ai fait les dessins, les mains, le corps et les filles les ont animés. C’était une très grosse semaine même si la vidéo ne dure qu’une minute », se souvient Robin Soulagnet, 20 ans.

“L’histoire n’est pas vraie à 100%, c’est plus parodique que réel, il n’y a pas de premier degré, c’est dans l’esprit de la marque, très léger”, ajoute l’étudiant.

Une expérience très bénéfique entre création et marketing. « Cela m’a beaucoup aidé dans ma formation, notamment sur la façon de travailler avec les animateurs. »

Chemin faisant, l’élève en apprend un peu plus sur notre personnage historique local, plus habitué à Henri IV, palois comme lui. « Nous avons utilisé les tableaux les plus connus de François Ierest pour être sûr qu’on le reconnaîtrait. »

La vidéo diffusée sur les réseaux sociaux de la marque compte plus de 4 000 vues.

 
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