L’heure était aux confidences pour Karine Le Marchand. Pendant qu’elle anime le documentaire Les Français, l’amour et le sexe, sur M6 le lundi 9 décembre 2024 à 21h10, l’animatrice a accepté de parler d’elle. Dans les colonnes de Télé Magazine, elle est revenue sur ses histoires d’amour et sa vision du couple.
Comme elle l’a expliqué, être célibataire au 21e siècle est à la fois réel et effrayant. “La liberté est exaltante mais elle peut être un précipice. Personnellement, je suis à un stade où
J’ai identifié ce qui m’attirait et me blessait.“, a-t-elle expliqué. Celle qui a été victime de violences conjugales avec son ex Lilian Thuram a alors raconté à quel point elle était tiraillée entre mauvais
garçon et les gentils garçons.
Karine Le Marchand pas tendre avec son ex
“Je n’aime plus ces mâles dominants, c’est réglé, j’ai fait le travail. Cependant, lorsque je rencontre une personne bonne et attentionnée, et que j’en ai fait l’expérience il n’y a pas longtemps, Je m’ennuie à mourir. DONC ?» a ajouté Karine Le Marchand. Un message clair et net qui ne devrait pas vraiment plaire à son ex-compagnon…
Comme elle l’a précisé plus tard, ce sont les expériences de couple qui permettent d’apprendre de ses erreurs. “Nous réalisons que ce sont les histoires que nous avons vécues qui nous font comprendre ce dont nous avons besoin. Je ne sais pas si c’est vraiment possible de s’épanouir toute sa vie avec la même personne. Il faut être lucide : le conte de fée conjugal qu’on nous a vendu n’a jamais fonctionné.» a confié Karine Le Marchand.
Karine Le Marchand : ses attentes vis-à-vis des hommes
La mère d’Alya a finalement conclu avec ce qu’elle attend désormais d’un homme. “Pour moi aujourd’hui, un gars doit arriver sans valises. Je ne suis pas là pour réparer. On a été élevés avec l’idée qu’il fallait s’occuper d’un homme (…) Quand je suis en couple je donne mais si je n’ai rien en échange, je pars. Je crois qu’en amour, donner à quelqu’un qu’on ne connaît pas, c’est de la connerie (…) Les sentiments romantiques doivent naître avec la connaissance de l’autre. C’est ma conviction.» a-t-elle conclu.
