« Spiral », « The School Taken Away », « The Girl from Hell »… 11 mangas par spaventarvi ad Halloween

Pour vous donner une dose de frayeur pour Halloween, BFMTV.com a sélectionné 11 mangas d’horreur emblématiques.

Corps sectionnés ou en décomposition, monstres mutés et déformés, mondes oppressants… Il n’y a pas que les films d’horreur qui vous passionnent le soir d’Halloween. Le manga propose également de nombreuses histoires horrifiques pour faire de votre nuit de terreur une réussite. BFMTV.com a sélectionné 11 mangas d’horreur emblématiques disponibles dans toutes les librairies.

• « Spirale »

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« Spirale » de Junji Ito © Uzumaki © 1998 Junji ITO / SHOGAKUKAN INC.

Véritable « rock star » du manga, Junji Ito voit son œuvre à nouveau disponible dans son intégralité en . Idéal pour les débutants, Spirale (1998-1999) est un conte aussi tragique qu’inquiétant, dans la lignée des récits de Lovecraft. Junji Ito raconte l’histoire d’un petit village qui sombre dans la folie après l’apparition d’extraterrestres en spirale. Ses dernières nouvelles, Tombepermet de prolonger cette ambiance avec ses 11 histoires terrifiantes peuplées de monstres marins et de sculptures maléfiques.

Spirale, Delcourt/Tonkam, 29,99 euros.

• « L’école enlevée »

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Un panneau de « L’école emportée » de Kazuo Umezu © Glénat

Mangas d’horreur classiques longtemps indisponibles en librairie, L’école enlevée (1972-1974) de Kazuo Umezu alias Umezz réapparaît avec une traduction révisée enrichie de nouvelles illustrations. L’occasion idéale de découvrir cette histoire troublante et cruelle sur l’enfance sacrifiée, l’équivalent japonais de Sa Majesté les mouches. Conçu par une main experte, L’école enlevée plonge le lecteur dans le cauchemar de 862 enfants dont l’école est transposée dans un étrange monde désertique. Livrés à eux-mêmes, ils devront apprendre à survivre alors que les monstres rôdent et que la faim commence à les rendre fous.

L’école à emporter, Umezz, Glénat, 10,75 euros (1 volume disponible)

• « Les liens du sang »

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Le manga « Les Liens du sang » de Shūzō Oshimi © Ki-oon

Liens de sang est l’un des mangas les plus acclamés de ces dernières années. Dans la tradition des thrillers de Bong Joon-ho (Parasite) et Brian de Palma, Liens de sang raconte la relation troublée entre un adolescent, Seiichi, et sa mère. Située dans une ville de province, cette œuvre de Shuzo Oshimi décrit la descente dans la folie de ses protagonistes au cours de plusieurs années. Une folie palpable dans des doubles pages hypnotiques où les personnages regardent fixement le lecteur.

Blood Ties, Shuzo Oshimi, Ki-oon, 7,90 euros (16 volumes).

• « Tomino la maudite »

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« Tomino la maudite » de Suehiro Maruo © Casterman

Maître de l'”ero-guro” (croisement entre érotisme et macabre), Suehiro Maruo il s’est fait connaître avec ses mangas inquiétants, inspirés du cirque. Ses personnages sont souvent victimes d’abus divers et de déformations physiques. Et ses récits, magnifiés par un trait élégant et précis, glacent le sang. Loué pour La fille aux camélias et L’Île PanoramaMaruo a récemment posté Tomino la mauditeson œuvre la plus accessible. Il raconte les mésaventures de jumeaux dotés d’étranges pouvoirs dans la pègre de Tokyo des années 1930.

Tomino la maudite, Casterman, 22 euros (2 tomes).

• « Parasite »

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Une double page du manga « Parasite » de Hitoshi Iwaaki © Glénat

Dans Parasiteun classique de l’horreur d’Hitoshi Iwaaki, d’étranges parasites envahissent l’humanité. En dévorant la tête des êtres humains, ces entités maléfiques prennent alors possession des corps des hommes pour les faire agir à leur guise. L’espoir de l’humanité, c’est Shinichi, un jeune lycéen épargné par son parasite, coincé dans son bras droit. Une intrigue captivante et des idées visuelles surprenantes.

Parasite, Hitoshi Iwaaki, Glénat, 274 pages, 10,75 euros. 8 tomes disponibles.

• « #DRCL Les Enfants de Minuit »

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Le manga « #DRCL : Midnight Children » de Shin’ichi Sakamoto © Ki-oon

Shin’ichi Sakamoto, auteur deAscension EInnocentil est revenu avec #DRCL Les Enfants de Minuitun manga qui revisite le mythe de Dracula de manière moderne et surprenante. Situé dans une ville londonienne du XIXe siècle, en pleine pandémie de peste, le manga transforme la figure du vampire en symbole d’inquiétude face au Covid, en menace insaisissable. Son utilisation particulièrement créative du noir pour représenter l’obscurité dans laquelle se cachent les vampires est impressionnante.

#DRCL Les Enfants de Minuit, Ki-oon, 7,95 euros (3 tomes)

• « Tête du dragon »

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Une page du manga « Dragon Head » de Minetaro Mochizuki © Pika

Aujourd’hui connu pour Pas encorel’histoire de la reconstruction d’un jeune menuisier après la mort de ses parents, Minetaro Mochizuki s’est fait connaître à la fin des années 1990 avec l’histoire fantastique La Dame de la chambre chiude puis le cauchemar Tête de dragonmodèle d’histoire claustrophobe. Alors qu’une classe de lycéens rentre à Tokyo à bord du Shinkansen, le train déraille dans un tunnel. Tous les passagers meurent sur le coup, à l’exception de trois lycéens qui sombrent dans la folie en tentant de s’échapper de ce tunnel de plus en plus oppressant.

Tête de Dragon, Pika, 20 euros (5 tomi)

• « Fractions »

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Couverture de « Fraction » de Shitaro Kago © IMHO

Attention, manga interdit aux âmes sensibles. Le recueil de nouvelles Hamletimaginé par le maître ero-guro Shintaro Kago, c’est certainement l’un des mangas les plus effrayants et les plus inquiétants disponibles en France. Hamletl’histoire principale de ce recueil, est parallèle à l’histoire de Kôtarô, un meurtrier qui coupe ses victimes avec une tronçonneuse, et à celle de l’auteur, Shintaro Kago, qui réfléchit sur son rapport à la violence.

Fraction, à mon humble avis, 18 euros.

• « La petite fille de l’enfer »

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Couverture du manga « La fille de l’enfer » de Hideshi Hino © IMHO

Maître du manga d’horreur né en Chine en 1947, Hideshi Hino a laissé sa marque avec ses histoires terrifiantes et malsaines. Ces histoires inspirées du Japon détruit pendant la Seconde Guerre mondiale provoquent chez le lecteur un sentiment de terreur et de rejet. Avec Panorama de l’enfer, La fille de l’enfer est l’un de ses mangas les plus célèbres. Dans cette histoire cruelle, il raconte le destin d’une monstrueuse petite fille, abandonnée par ses parents à sa naissance. Les planches de cette œuvre sont exposées au Centre Pompidou dans l’exposition « La bande dessinée sur tous les plans » jusqu’au 4 novembre.

La petite fille des enfers, Hideshi Hino, à mon humble avis, 14 euros.

• « Kitaro le repousse »

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Un extrait du manga « Kitaro’s Travels » de Shigeru Mizuki © Cornélius

Même les enfants ont droit à leurs horribles histoires ! La légende du manga Shigeru Mizuki (1922-2015), acclamé pour avoir contribué à la popularisation des yôkai, créatures du folklore japonais, s’est fait connaître dans les années 1960 grâce à ses longues séries Kitaro le repousse. Très populaire au Japon (il a inspiré les anime et les jeux vidéo), il suit les aventures d’un garçon démon, dernier membre vivant de la tribu fantôme. Des histoires pour les jeunes, aussi effrayantes que drôles.

Kitaro (11 volumes) des Voyages de Kitaro (2 volumes), Cornelius, 16 euros.

• « L’abomination de Dunwich »

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Planche tirée de « L’Abomination de Dunwich » de Gou Tanabe © Ki-oon

Gou Tanabé Il adapte depuis plusieurs années les romans de HP Lovecraft, l’un des principaux auteurs de la littérature imaginative. Ses interprétations de L’Abomination de DunwichDepuis Le cauchemar d’Innsmouth ou même L’appel de Cthulhu surprendre par le pouvoir évocateur de leurs images. Gou Tanabe est particulièrement habile à retranscrire sur les visages et les yeux de ses personnages la terreur provoquée par les créatures de l’ermite de la Providence.

Les chefs-d’œuvre de Lovecraft (12 volumes), Ki-oon, entre 16 et 18 euros.

 
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