Ils n’y échappent jamais. Le pouvoir pèse sur les hommes politiques. Un des exemples les plus frappants : Barack
ObamaPrésident des Etats-Unis de 2009 à 2012. Cheveux grisonnants, traits tirés… le démocrate avait bien vieilli en quatre ans. En France, le président de la République n’échappe pas non plus au fléau des responsabilités.
Des nuits trop courtes pour le chef de l'État
Le 21 décembre, Emmanuel Macron fêtera son 47e anniversaire. De nombreux internautes le soulignent à chaque apparition du chef de l'État : Oui, Emmanuel Macron a vieilli ! Et cela se lit sur le visage du mari de Brigitte MacronMédecin esthétique basé dans le Sud-Est, le Dr. Éric Essayagh analyser son visage : « Emmanuel Macron
est émacié, ses rides sont plus prononcées car les muscles s'atrophient avec le temps et doivent faire plus d'efforts. Elles deviennent alors hypertoniques pour compenser la perte de volume. Quant à la peau, elle est grisâtre, « Parce qu’au fil des années, la peau perd de sa tonicité. Elle perd son collagène, l’épiderme s’épaissit, le derme s’amincit. »
Un autre « point faible » deEmmanuel Macron : sa quantité de sommeil. Il est bien connu que le chef de l'État dort peu. En 2020, le magazine
L'Express a affirmé que le président n'avait fait que dormir « trois heures par nuit ». Beaucoup trop peu : un minimum de sept à huit heures est recommandé, comme l'explique le Dr Martine Duclos, chef du service de médecine du sport au CHU de Clermont-Ferrand. « Leur mode de vie est à l’exact opposé des recommandations ! La bonne nouvelle c’est qu’avec du repos, leur vieillissement est réversible. »
Un « rêve » qui devient un « enfer »
Que pensent les autres personnalités politiques de cela ?
Roselyne Bachelot confié à la
parisien qu'en politique le processus de vieillissement est accéléré : « Nous n’avons jamais de vacances, ni de week-ends, nous mangeons sans synchroniser nos repas. J’avais l’impression de vieillir plus vite. Je crois qu’on vieillit de cinq ans en un an. »
L'ancienne ministre de la Culture donne sa propre analyse des nouveaux arrivants en politique : « Ils n’ont pas le temps de s’habituer à la responsabilité, analyse Roselyne Bachelot. La dureté de la vie politique les frappe d’autant plus que le rêve qu’ils avaient imaginé se transforme vite en enfer. »
