Les étudiants de terminale auront ensuite jusqu’au 13 mars pour formuler dix vœux maximum, et finaliser leur dossier jusqu’au 2 avril.
Quelques nouveautés
Avec environ 24 000 formations proposées, un chiffre proche de l’année dernière, le portail affiche de nouvelles fonctionnalités pensées pour plus de clarté. Tout d’abord, une « carte d’identité » pour chaque formation précisera le statut de l’établissement (public, privé sous contrat ou sans contrat), le caractère sélectif ou non de la formation, le nombre de places disponibles et l’éligibilité. aux bourses.
En fonction des spécialités et d’une moyenne donnée, les lycéens pourront aussi se faire une idée de leurs chances d’accéder à une formation : « rare », « occasionnellement », « régulièrement », « plus de 50 % » etc.
Des vignettes donneront des chiffres sur les profils des lycéens ayant intégré chaque filière au cours des trois années précédentes.
Parcoursup, lancé en 2018, intégrera également de nouvelles données en 2025 sur les taux d’insertion professionnelle et de poursuite d’études.
Phase d’admission principale à partir du 2 juin
La phase principale d’admission débutera le 2 juin et le classement des vœux en attente aura lieu entre le 6 et le 10 juin.
Une phase complémentaire de formulation de vœux complémentaires au regard des places encore disponibles s’ouvrira ensuite le 11 juin, avant le début des inscriptions le 4 juillet, après la publication des résultats du baccalauréat.
L’année dernière, environ 945 000 candidatures ont été déposées sur Parcoursup, selon le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Pression académique ?
Certains étudiants accusent la procédure d’accentuer la sélection et la pression académique, une revendication soulevée notamment par les lycéens lors des blocages scolaires ces dernières semaines, principalement à Paris.
Le site Parcoursup assure à l’inverse se limiter à la « transmission des candidatures » et à la « prise en compte des priorités légales », comme le « taux de boursiers décidé par les recteurs pour chaque formation », mais souligne que celles-ci sont « les enseignants des établissements d’enseignement supérieur qui organisent des commissions d’examen des vœux.
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