Comme après l’Euro, la question du limogeage du sélectionneur est sur la table. On parle de 1,45 million… que la Fédération n’a plus dans sa trésorerie. Un malus à cumuler avec le salaire d’un futur entraîneur. Ce qui est très loin d’être un fait établi puisqu’à la Fédération, nous prenons le temps de réfléchir et de préparer l’évaluation de Tedesco en nous basant sur des analyses quantitatives et le ressenti du noyau.
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J.Je suis toujours la bonne personne au bon endroit. » Domenico Tedesco ne doute de rien. Il reste farouchement campé sur ses positions depuis la première vague de critiques qui a balayé ses illusions d’unité du pays autour de la cause qu’il incarne et défend. L’Euro lui avait envoyé un premier message, la Ligue des Nations vient de lui en envoyer un second. Et comme si cela ne suffisait pas, les chiffres de l’année civile la plus désastreuse pour un entraîneur belge depuis 2009 ont affiné le message. Cette année-là, le trio d’entraîneurs successifs composé de René Vandereycken, Francky Vercauteren et Dick Advocaat, avait péniblement récolté 36,1% des points en jeu (13 sur 36 avec 7 défaites). Pour une baisse du classement Fifa de 54e à 66 anse lieu mondial. Quinze ans plus tard, le bilan de Domenico Tedesco est à peine meilleur, avec 38,1% de points (6 défaites), clôturant un 3e défaite consécutive dimanche contre Israël.
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