Deux mois et demi après son arrivée à Matignon, le Premier ministre s’est retrouvé confronté à plusieurs mouvements de contestation.
L’année 2024 se terminera-t-elle comme elle a commencé ? Nommé il y a deux mois et demi à Matignon, Michel Barnier devra réprimer cette semaine plusieurs mouvements de contestation. Un ajout de colère de la part des « territoires », selon l’expression utilisée pour la France rurale et provinciale. Alors que son prédécesseur Gabriel Attal avait été rattrapé, dès qu’il avait été nommé rue de Varenne en janvier, par le mal-être des agriculteurs – qui avait conduit à des blocages d’autoroutes aux quatre coins de la France – le Savoyard est à son tour confronté à un puissant mécontentement. parmi le monde paysan. La cause de cette colère ? L’accord de libre-échange du Mercosur, entre l’Union européenne et les pays d’Amérique latine, qui pourrait être ratifié d’ici la fin de l’année au niveau communautaire. De quoi faire craindre aux opérateurs une concurrence déloyale sur les prix et l’arrivée de marchandises contenant des produits interdits sur le Vieux Continent.
Discret…
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