comment son ex Diego El Glaoui s’est retrouvé impliqué dans l’affaire

Après s’être séparée de son fiancé Diego El Glaoui en mai dernier, Iris Mittenaere a retrouvé l’amour dans les bras d’un certain Bruno Pelat, âgé de 22 ans et fils d’Olivier Pelat, promoteur immobilier, fondateur du groupe Euroequipments. Mais, le 25 septembre, la reine de beauté porte plainte contre lui pour violences conjugales. Ce mercredi 6 novembre, les deux ex se sont donc retrouvés au tribunal judiciaire de Paris dans le cadre du procès suite au dépôt de plainte d’Iris Mittenaere. Mais, lors de l’audience, l’ex-fiancé de Miss France 2016 s’est retrouvé, malgré lui, impliqué dans l’affaire.

Après que l’avocat de la reine de beauté, Maître Bruezière, ait demandé un huis clos, en raison de «notoriété» de la jeune femme, Maître D’Ollone, l’avocat de Bruno Pelat, a révélé avoir en sa possession un audio de Diego El Glaoui. Dans cet audio, ce dernier « reproche à Iris pour l’accuser à tort de violence domestique » selon les informations de Figaro TV Magazine. Un échange tendu entre les deux parties, avant que le huis clos ne soit déclaré pour que « la parole peut être libre», selon les mots du président.

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Iris Mittenaere, son ex-compagnon jugé pour violences conjugales : le verdict est tombé

Le lendemain de l’audience, le verdict était annoncé. Bruno Pelat a donc été condamné à 12 ans de prison, dont six mois de prison, comme l’a révélé BFMTV. Malgré cette condamnation, le jeune homme de 22 ans pourra purger sa peine en dehors de la prison puisqu’il s’est vu accorder un sursis probatoire de deux ans, lui interdisant d’avoir des contacts avec Iris Mittenaere. Bruno Pelat avait déjà été condamné en 2022 pour violences et menaces sur son père, ainsi que pour des faits de violences sur une autre ancienne compagne en avril 2023. Lors de sa confrontation avec les autorités suite à la plainte déposée par la reine de beauté, il aurait a déclaré qu’il se trouvait dans une forme de détresse psychologique, souffrant de « syndrome d’abandon et d’impulsivité ».

Photo credits: Christophe Clovis / Bestimage