la liste des supermarchés et hypermarchés qui fermeront bientôt en France

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C’est un coup dur pour les salariés d’Auchan, et un bouleversement pour certains consommateurs.

L’entreprise a annoncé, ce mardi matin 5 novembre 2024, un projet de plan social menaçant 2 389 emplois en France, dont 915 postes en magasin. Et, du coup, la fermeture de plusieurs de ses magasins est prévue.

Quels magasins sont concernés ?

Des fermetures devraient avoir lieu dans plusieurs régions, selon les informations de l’AFP. Une dizaine de magasins seront donc contraints de fermer leurs portes. Cette mesure entraînera à elle seule la suppression de 466 postes en France.

Les enseignes menacées de fermeture sont les suivantes :

• the Clermont-Ferrand Nord hypermarket (Puy-de-Dôme)
• the Bar-le-Duc hypermarket (Meuse)
• the Woippy hypermarket (Moselle)
• le supermarché d’Aurillac (Cantal)

La fermeture de six sites locaux est également prévue, sans savoir précisément lesquels, selon le service de presse du groupe Auchan, contacté par -.

Pour l’instant, le plan de retour à la croissance a été présenté, mais nous ne sommes pas encore dans la phase de négociations, site par site, avec les représentants syndicaux (ce qui permettra de définir une liste précise des magasins concernés, NDLR). .

De plus amples informations devraient être fournies au cours du mois de novembre.

Une entreprise en déclin

Le groupe Auchan envisage en priorité la fermeture des points de vente non rentables, ainsi que celle de trois entrepôts assurant une activité de livraison directe à domicile, à Paris, Lille et Lyon, ce qui entraînerait la suppression de 244 postes.

La direction espère limiter le nombre de licenciements grâce à l’accompagnement des salariés concernés, aux formations de reconversion, aux congés de reclassement et aux plans de départs volontaires.

D’autant que la mauvaise situation économique de l’entreprise n’est pas une surprise. Auchan a enchaîné les mauvaises années économiques et sa holding Elo Groupe a annoncé en juillet une perte nette de près d’un milliard d’euros sur les six premiers mois de 2024.

Avec l’AFP

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