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Valérie Damidot revient sur la finale de Master of the Game sur TF1

C’est le 11 octobre dernier que TF1 lançait son tout nouveau programme de divertissement. Baptisé Le maître du jeuc’est une grande enquête menée par douze personnalités invitées dans un château, le tout sous l’oeil malicieux de Laurent Ruquier. Leur objectif : retrouver l’identité du mystérieux hôte des lieux. Pour les aider, ils ont dû retrouver des indices glanés au château ou distillés lors d’épreuves. Mais pour rendre le jeu un peu plus difficile, le Maître de maison avait désigné un complice – Max Boublil – afin de détourner les soupçons vers de fausses pistes. Parvenue en finale, Valérie Damidot s’est confiée Multi-Loisirs dans cette aventure extraordinaire.

Je mets toujours l’affect avant tout le reste» : Valérie Damidot évoque sa stratégie dans Le maître du jeu sur TF1

Multi-Loisirs : Pourquoi avez-vous accepté de participer à cette grande enquête ?
Valérie Damidot:
J’adore les enquêtes policières, je passe ma vie à lire des thrillers et à regarder des séries policières. J’ai toujours aimé jouer au Cluedo avec mes enfants. Je trouve que l’idée de se retrouver dans un grand Cluedo est géniale. Et puis, il y a des amis dedans. J’ai immédiatement dit oui. Franchement, j’aurais été bien bête de ne pas accepter !

Vous êtes tous rapidement entrés dans le jeu…
Nous étions comme des fous. Vous ne pouvez pas le voir mais nous avons recoupé les indices au tableau pendant des heures ! Nous avions du mal. Elsa (Bois, ndlr) faisait des listes non-stop. Mais parfois, je me disais que j’aurais dû être le complice du Game Master, je me serais moins inquiété.

Ce n’est pas contre lui que je suis en colère mais contre moi» : Valérie Damidot réagit au rôle de complice de Max Boublil dans Le maître du jeu

Vous connaissez très bien certains candidats, comme Arnaud Ducret, sa femme Claire et ou encore Max Boublil. Cela ne fausse-t-il pas votre jugement ?
J’étais tellement dans l’enquête en mode premier degré. Quand j’ai su qu’il y avait un complice, je me suis dit que ce serait biaisé parce que je fais toujours passer l’affect avant tout. J’ai presque 60 ans et je me laisse toujours berner. (Elle rit.) Ce n’est pas grave. Mais c’est Max qui paie quand même…

Oh oui ?
Vous parlez ! Nous avons regardé la finale ensemble ce soir. Max, c’est mon ami. Je ne lui en veux pas. C’est moi que je blâme, d’être si stupide et d’avoir oublié qu’il était acteur et qu’il était tout à fait capable de jouer un filou ! Il l’a avoué par la suite, c’était compliqué de mentir à des gens qu’il connaît bien. Après, il a tellement abusé de mon côté maternel avec tout le monde. Mais il a aussi trompé Elsa !

Avez-vous déjà eu des doutes à son sujet ?
Parfois, je pensais que c’était bizarre. Mais il n’était pas si mauvais et d’autres candidats ont raté des épreuves, comme Frédéric Diefenthal ou Francis Perrin, qui se voient remettre le Bon Dieu sans confession.

Des personnalités vous ont-elles surpris dans le jeu ?
Elsa Bois était la plus jeune, mais elle est super vive, bonne amie, sympathique. Je pense que pour elle, c’était dur au début car il fallait qu’elle se dise qu’elle était dans un EHPAD ! Elle s’est adaptée en deux minutes, c’est une vraie preuve d’intelligence. Et elle était toujours en CP, comme Claire Francisi-Ducret et moi. J’ai adoré cet enfant ! Les filles, plus que les garçons en fait, étaient toutes dedans, on ne s’arrêtait pas, on était obsédés par les indices.

Il y avait des indices communs à plusieurs personnalités» : Valérie Damidot explique les stratagèmes de la production de Maître du jeu les confondre dans leur enquête

Avez-vous été surpris en découvrant l’identité du Game Master ?
Jusqu’au bout, on a des rebondissements car c’est un jeu très bien réalisé. Il y avait des indices communs à plusieurs personnalités. C’est pourquoi ce n’était pas aussi simple que nous le pensions. Nous sommes revenus à chaque bobine. Jusqu’au dernier moment, nous n’étions sûrs de rien. Et le complice vient tout perturber. Nous n’avions plus de certitude. On a passé des heures devant ce foutu tableau ! (Elle rit.)

Et comment avez-vous réagi à cette révélation ?
Nous attendions juste cela, savoir qui nous torturait depuis huit jours. Nous étions très heureux et en même temps un peu tristes que cela doive s’arrêter car c’était une grande colonie policière. On aurait pu faire une série en douze épisodes comme Arabesque.

 
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