Comme le rapportent plusieurs médias suisses, l’UDC aurait demandé la démission de la conseillère fédérale Viola Amherd lors de sa réunion de direction à Bad Horn.
Lors de sa réunion de direction à Bad Horn, l’UDC a demandé la démission de la conseillère fédérale Viola Amherd. C’est ce que rapportent plusieurs médias suisses.
Selon «CH Media», les hauts responsables de la politique de sécurité suisse étaient également présents, notamment le chef de l’armée Thomas Süssli. Étaient également présents Pascal Lüthi, directeur de l’Office fédéral des douanes et de la sécurité des frontières, et Markus Mäder, secrétaire d’État à la Sécurité.
Lors de la réunion, l’UDC a conclu que la sécurité en Suisse n’était plus garantie. Le parti Sünneli invoque comme raisons l’immigration clandestine, qui met en danger la paix intérieure, ou la « criminalité importée ». Mais d’abord l’armée mal dirigée.
Le jeu lui dit qu’elle préfère se concentrer sur les questions de genre dans l’armée. Au lieu de s’occuper de l’équipement de l’armée. En outre, le chaos règne dans leur ministère de la Défense : les projets d’armement sont gaspillés, le financement de l’armée est flou et les stocks s’amenuisent.
En outre, le conseiller fédéral centriste torpille la neutralité de la Suisse. En effet, elle a reçu la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et lie progressivement la Suisse à l’OTAN.
Les députés du Parti du Centre ont réfuté les allégations contre leur conseiller fédéral sur le service de messages courts X.
«Après que l’armée ait été détruite sur le territoire sous des décennies de direction de l’UDC-VBS et responsable de x projets aléatoires, attaquez la première femme ministre de la Défense, qui a rendu l’armée capable de se défendre à nouveau. Assez transparent…», écrit Marianne Binder, membre du Conseil central des Etats d’Argovie.
Pour le leader du groupe du centre Philipp Matthias Bregy, l’UDC a définitivement dit adieu à la responsabilité gouvernementale.