«Ça fait mal comme ça. Mais à 2-1 il y a une faute sur Asllani”

«Ça fait mal comme ça. Mais à 2-1 il y a une faute sur Asllani”
«Ça fait mal comme ça. Mais à 2-1 il y a une faute sur Asllani”

L’histoire était là, à un pas : la sixième Supercoupe, la quatrième consécutive avec les Nerazzurri, le septième trophée avec l’Inter, la possibilité de rejoindre Herrera et Mancini au sommet du classement des entraîneurs les plus titrés de l’histoire de le club. Tout semblait joué : 1-0 en fin de première mi-temps, doublant la mise quelques secondes avant le début de la seconde mi-temps. Et à la place, rien. Tout est reporté. Inzaghi panse des blessures très ouvertes et est désormais appelé à faire des évaluations très approfondies. « C’est une défaite brûlante, douloureuse, douloureuse – a commencé l’entraîneur après le match -. Nous devons féliciter Milan car ils n’ont jamais abandonné, mais lors du match 2-1, nous avions le ballon. Il fallait le contrôler, même s’il y avait probablement une faute sur Asllani. Ensuite, nous avons perdu l’avantage 3-1. Mais même si ça fait mal, cette équipe s’est toujours relevée : on avance, on aura 6 matchs en 18 jours et il faudra recommencer de la meilleure des manières.

échec de la défense

Ces dernières semaines, l’Inter avait blindé son département défensif. Ce soir cependant, il a encaissé 3 buts, dont 2 dans les 10 dernières minutes. Une tendance qui se répète trop souvent pour les Nerazzurri : « Mais je crois que les données relatives aux buts encaissés à la fin ne concernent pas seulement l’Inter – se défend Simone -. La fatigue augmente et l’intensité diminue, c’est normal. L’équipe a tout donné mais il fallait mieux la gérer car en première mi-temps, Milan n’a pas appuyé haut. Leurs remplacements ont eu un impact : des joueurs offensifs et défensifs sont entrés en jeu mais l’Inter a perdu trop d’occasions même à 2-2 : Carlos Augusto. Frattesi, Dumfries… nous n’avons pas clôturé et ça fait tellement mal. Perdre une finale avec 2 buts d’avance, ça fait vraiment mal. Et sur les individus : « Calhanoglu et Thuram ? Chaque équipe a ses essentiels, mais ce n’est pas forcément notre cas : nous avons besoin de tout le monde. Nous attendons aussi le retour des défenseurs car nous en avons besoin. Mais quand on a tous ces matchs serrés ça devient difficile… ».

 
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