INTER-ATALANTA 2-0
(49′ et 61′ Dumfries)
Sommer 6,5 – Finalement, il a dû lui aussi y mettre la main : un bel arrêt, tout d’instinct et de réflexes, sur Djimsiti dans les dernières minutes. Sauvez à vos coéquipiers une fin palpitante.
Bisseck 6.5 – Zaniolo lui rentre dedans, il réagit comme s’il s’agissait d’eau douce et avance.
Le Libre 7 – Sans avant-centre de référence, il a la liberté de faire ce qu’il veut. Y compris quelques lancements plus qu’intéressants pour les attaquants.
Bâtons 6 – Brescianini l’oblige à rester bien plus bas que d’habitude, une confusion de sa part au départ risque d’ouvrir la porte à Scalvini pour marquer. Le reste est bon, mais reste en dessous du standard. (À partir de 67′ Carlos Augusto 6,5 – Tout bien considéré, son arrêt sur De Ketelaere vaut un but).
Dumfries 8 – Denzel d’Arabie, le héros surprise de la demi-finale de la Super Coupe d’Italie. Un but pour Djorkaeff, un pour Maicon : ça brise le Brigade des stupéfiants avec deux mentions d’auteur.
Civière 6,5 – Il court et inspire, envoyant le ballon dans la surface pour ses coéquipiers. Inépuisable et confirme l’excellent état de forme. (À partir de 81′ Frattesi sv).
Calhanoglu 6,5 – D’un de ses lancers sort le corner qui mène à l’avantage. Quelques erreurs de finition, néanmoins positives. (Dal 67′ Asllani 6 – Entrez la course est sur glace).
Mkhitaryan 7 – Il manque juste d’altruisme à plusieurs reprises, mais il est un outil utile pour les lignes adverses. Le meilleur des trois milieux de terrain.
Dimarco 6 – Lui aussi doit s’inquiéter pour Brescianini, en finale le 3-0 est évité avec le goût de la gloire personnelle.
Thuram 5.5 – Il est incapable de libérer sa puissance, également par choix : à plusieurs reprises, il cherche le soutien de Lautaro au lieu du but. Le duel 100% physique avec Hien était sympa. (À partir de 46′ Taremi 6 – Plus agressif que les Français. Bien entendu, le but est inconnu).
Lautaro 5 – Ici, d’ailleurs. Il court et récupère des ballons, offre une belle talonnade à Thuram, la prestation globale est tout sauf à gâcher. Mais alors il y a un détail qui n’en est pas un : le but retrouvé redevient aussitôt une obsession. S’il en mange deux ou trois, l’erreur vient peut-être de ses compagnons qui insistent pour le servir de manière compulsive. Mais le résultat est là, aux yeux de tous, y compris de Carnesecchi.
Simone Inzaghi7 – Simone sept beautés contre Gasperini. L’Atalanta domine une nouvelle fois, et a désormais l’opportunité de prolonger sa séquence positive en Super Coupe. Plus que des réponses positives de l’équipe, toujours un objectif collectif.