Baptiste Ridira (DFCO coach): « C’est une très, très grande déception. Nous avons raté notre match en première mi--, surtout dans un match qui était à notre portée. Tout était décrit d’avance et finalement, nous sommes tombés dans le piège. De plusieurs manières : dans la maîtrise des émotions, sur leur capacité à être solides, à nous blesser dans les transitions… Nous n’avons pas atteint cette sérénité et nous nous sommes mis seuls en difficulté. A la mi--, je leur ai dit que je n’étais pas fier de mon équipe, en seconde période, j’étais content de leur réaction, mais j’ai été déçu du manque de rigueur dont on a fait preuve une fois qu’on a pris l’avantage. En termes d’énergie, de courage et de solidarité, Espaly, malheureusement pour nous, a mérité sa victoire. Ils ont joué le match parfait de Coupe de France. Je ne vais pas parler de terrain, car ce soir, nous n’avons aucune excuse à trouver. »
Quentin Bernard (DFCO defender): « Nous sommes déçus, surtout par rapport à la première mi--. On ne va pas se mentir, il y a des matches comme ça, des matchs de Coupe, tous les ans. Le terrain était dégueulasse, ils n’ont rien fait pour avoir un terrain digne d’un terrain de football. En première mi--, nous étions en retard sur presque tout. Techniquement, c’était compliqué. Ce qui est ennuyeux – et je vais chercher plus loin qu’aujourd’hui – c’est le rouge de Varg (Hugo Vargas-Rios). On n’a déjà pas Jo’ (Marié, suspendu trois matches), on se tire une balle dans le pied pour la reprise. Bizarrement, c’est à dix qu’on était les meilleurs, qu’on jouait mieux (…). C’est la magie de la Coupe de France, mais quand elle tombe contre nous, c’est nul. »
France
