Il y a eu des discussions spéculatives sur les réseaux sociaux sur la probabilité d’une inondation en janvier avec la prévision de précipitations supérieures à la moyenne.
Le sol doit être saturé et la pluie doit tomber rapidement et longtemps dans des bassins versants spécifiques. À ce stade, il n’existe pas suffisamment de preuves pour susciter des inquiétudes.
Comme nous le savons, janvier, février et mars sont des mois propices aux inondations, mais ce n’est pas une garantie.
Selon le BOM, les perspectives pour le reste du mois de décembre seront majoritairement sèches. Des températures minimales et maximales plus élevées que d’habitude nous feront ressentir la chaleur à Noël. Les plateaux de fruits de mer froids sont recommandés !
En janvier, les précipitations sont supérieures à la moyenne attendue, mais elles ne devraient pas tomber toutes en même -. Cependant, le sol est relativement humide et le ruissellement verra les rivières gonfler. Les conditions d’inondations potentielles ne se présentent pas à ce stade.
Les prévisions portent sur la probabilité d’une « explosion » – plus de 75 mm de précipitations sur une période de trois jours. La perspective est de 0 à 20 % jusqu’au 6 janvier. Au-delà, il faudra attendre de voir ce que prédit la modélisation.
Cependant, la nomenclature indique qu’il y a 59 % de chances de précipitations supérieures à la médiane (supérieures à 125,1 mm) en janvier et 23 % de chances d’un mois inhabituellement humide (supérieures à 257,8 mm). Pour février, les précipitations supérieures à la médiane sont similaires à 60 %, mais le pourcentage inhabituellement humide s’élève à 32.
Les températures minimales et maximales plus élevées prévues dureront jusqu’en janvier et jusqu’en février et mars.
Alors que les vacances d’été approchent, l’appel de la nature incite de nombreuses personnes à choisir de camper. En raison de la possibilité de crues des ruisseaux et des berges des rivières, le SES vous demande d’être particulièrement prudent lors du choix d’un emplacement de camping.
Scott McLennan conseille : « Restez à l’écart des bords des cours d’eau et n’installez pas votre tente sous les arbres.
« Avec l’avènement du Hip Camping et d’autres aventuriers du camping gratuit, ce sont eux qui sont à risque, ils ne connaissent pas les conditions de la région et les conditions ont tendance à changer. Ce sont ceux vers qui nous sommes le plus souvent interpellés.
« L’autre groupe à risque à cette période de l’année sont les personnes qui tractent des remorques et des caravanes. Si les niveaux d’eau sont élevés, les ponts sont mis à rude épreuve. Il y a eu récemment un incident avec un Rav 4 tirant une remorque : ils venaient juste de franchir le pont et celui-ci s’est effondré.
« Tenez compte de votre situation et de votre niveau de risque lorsque vous vous aventurez dehors cet été. »