réactions après le succès contre Villeneuve-d’Ascq

« Je suis content, on a gagné avec plus de dix points, c’est plutôt positif. On a fait un très bon premier quart--, donc à la mi--, on était largement devant. Et après, on ne peut pas tuer le match. On a quand même bien géré la fin de match pour finir avec cette avance. La semaine de travail était bonne. C’est, je le répète, la difficulté de jouer l’Euroligue, c’est qu’on laisse beaucoup d’énergie et d’essence, donc c’est compliqué de continuer en championnat. C’est un choix que nous faisons cette année. Alors on sait que parfois, quand on sort d’un gros match d’Euroligue, c’est difficile derrière. Mais pour l’instant, nous parvenons à être dans ce que nous souhaitons sur les deux plans. Il faut essayer de continuer ainsi autant que possible. »


Julie Barennes a estimé que les Landaises avaient « bien géré » cette fin de match.

Philippe Salvat / SO

Clarince Djaldi-Tabdi, capitaine de Landes

« Je pense qu’on a appris des matches précédents où on est devant et, quand l’adversaire revient, on perd le contrôle, on manque de lucidité. Là, je pense qu’on a réussi à bien gérer ce tempo pour réussir à s’imposer. C’est une bonne étape pour la suite, ce n’est pas parfait mais c’est encourageant. On a une équipe en face qui perd à la mi-- et c’est le double ou rien : soit tu abandonnes, soit tu envoies tout parce que tu n’as rien à perdre. Et pour nous, c’est là que nous devrions être plus « concentrés » et avoir une relaxation inconsciente, même si nous nous le disons. Mais il n’était pas trop gros pour perdre le match donc c’est ce dont je me souviens. »

Rachid Méziane, coach of Villeneuve-d’Ascq

« Le Basket Landes mérite sa victoire, même si on a eu un sursaut d’orgueil dans le dernier quart--. On sait que c’est compliqué de gagner ici, d’autant plus avec un tel début de match. Après, j’apprécie la réaction de l’équipe en seconde période. Quand on est à dix ou onze points, il nous manque ce ballon pour passer sous la barre des dix et peut-être changer l’apparence du match. Mais ce dimanche, c’est le meilleur qui a gagné. »


Rachid Méziane deviendra le premier entraîneur français à entraîner une équipe WNBA en 2025, les Connecticut Suns.

Philippe Salvat / SO

Marie-Ève ​​Paget, leader of Villeneuve-d’Ascq

«Je pense que nous commençons trop loin. On rentre aux vestiaires avec 53 points encaissés. C’est trop espérer face à une équipe comme Basket Landes. On gaspille beaucoup d’énergie pour revenir au score. On revient à trois points, mais on n’a pas ce déclic ni ce panier pour nous mettre devant. (Sur l’hommage avant la rencontre) Je ne m’y attendais pas du tout, j’ai été très ému. Je me suis dit qu’ils l’avaient fait exprès avant le match pour me déstabiliser (rires) ! C’était comme le Basket Landes, très fort. Je suis très heureux d’avoir pu venir ici et me nourrir de l’énergie du public, même si ce n’était pas pour moi (sourire). »

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Fin de la saison 2 de « Squid Game », expliquée : qui gagne ?
NEXT Vieille vidéo de Trudeau se moquant de Trump alors qu’ils se rencontrent au milieu d’une menace tarifaire