Karine Le Marchand présentera un nouveau spectacle Les Français, l’amour et le sexe sur M6. Elle sera diffusée lundi soir. «C’est un document sociétal qui explique comment
tout a changé dans les relations amoureuses, on ne s’engage plus de la même manière, on ne se rencontre plus de la même manière. elle explique dans Tous les jours ce vendredi 6 décembre.
La présentatrice est souvent elle-même perdue
face à de nouvelles formes d’amour. “Je suis
complètement abandonné aussi ! Parfois je me demande
où sont les valeurs que nous avions en couple maintenant. Nous pouvons maintenant avoir des règles
où l’on se sent hétérosexuel, bisexuel ou pansexuel, des moments de polyamour ou des moments où l’on a envie de s’installer avec une seule personne.»
Karine Le Marchand interviews Jean-Michel Aphatie
Sur le plateau de Tous les joursKarine Le Marchand a fait appel à un chroniqueur pour un exemple particulier. “On n’a plus les mêmes projets en couple ou pas en couple, la loyauté est remise en question. Il y a des gens qui ont de nouvelles routines ou pratiques sexuelles que Jean-Michel et moi n’avons pas vécues.
Jean-Michel Aphatie, gênéa répondu “Mais je ne vous le permettrai pas.» avant que Karine Le Marchand rebondisse et parle d’une nouvelle façon de s’aimer. « Êtes-vous polyamoureux ? »
demande-t-elle sur le plateau. “Je ne sais pas, on en reparlera plus tard” répond le chroniqueur qui rougit. Yann Barthès était également complice : “C’est vrai, tu es polyamoureux ?”
La présentatrice parle de sexe sans tabou : elle a ses limites
Le sujet du rapport est loin d’être
l’embarrasser. “Cela ne me dérange pas
parler de sexe, plus pratiques, il y a des choses que je ne fais pas ou que je trouve répugnantes.
she explains to Yann Barthès. « Je trouve ça bien de pouvoir dire
sa sexualité, les gens osent dire des choses très intimes et le chemin parcouru pour accepter qui ils sont.
Toutefois, Karine Le Marchand a dû mal avec certaines nouvelles normes. “Je suis né dans une très société
patriarcalavec les parents qui ont effectué
toujours un devoir conjugal. Nos mères faisaient l’amour parce qu’elles devaient le faire à leur mari. (…) Nous ne pouvons pas
Fini de flirter au travail, on n’en a plus le droit. Il n’y a plus de bals populaires, etc. Les réunions, en dehors d’une application de rencontres, c’est désormais compliqué.» Regrette-t-elle cette fois-là ? Oui, “Je le regrette comme beaucoup de gens !”