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“Tous ces fantasmes ne font qu’aggraver la situation et montrent que les gens qui véhiculent de telles idées préfèrent ne pas entendre les avertissements très clairs que le président Poutine a exprimés à plusieurs reprises”, a déploré Sergueï Lavrov, lors d’une conférence de presse en marge d’une réunion de l’OSCE. à Malte.
En séquence complète des missiles « Orechnik »
Les spéculations se multiplient sur les négociations de paix avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.
Vladimir Poutine estime que le rapprochement de Kiev avec l’OTAN et l’élargissement de l’OTAN dans les années 1990 et 2000 constituaient des menaces existentielles pour la Russie. Il y voit également une justification de son invasion à grande échelle en cours depuis février 2022.
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Pour mettre fin à la guerre, le maître du Kremlin exige notamment une reddition de l’Ukraine et que Kiev renonce à adhérer à l’Otan.
Par ailleurs, Moscou considère que l’utilisation de missiles occidentaux pour frapper des cibles militaires sur le territoire russe rend les Occidentaux parties de facto au conflit.
La présence de troupes occidentales en Ukraine, même pour assurer un cessez-le-feu, apparaît donc comme une ligne rouge pour Vladimir Poutine.
