embouteillages monstres sur les autoroutes, ces secteurs sont à « éviter »

embouteillages monstres sur les autoroutes, ces secteurs sont à « éviter »
embouteillages monstres sur les autoroutes, ces secteurs sont à « éviter »

Par

Jérémie Attali

Publié le

2 décembre 2024 à 9h40
; mis à jour le 2 décembre 2024 à 9h41

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Les taxis sont en action ce lundi 2 décembre à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône.

Après le départ de leurs trois convois, kilomètres d’embouteillages se sont formés sur les autoroutes et « toutes les entrées de la L2 » ont été « fermées dans le sens A50 vers A7 », a même précisé la préfecture ce matin.

Les taxis manifestent sur les autoroutes

Des embouteillages impressionnants se sont formés ce matin suite à trois opérations de taxi. Les convois sont partis de Plan de Campagne, dès 8 heures, pour emprunter l’A51, l’A517 puis l’A7 en direction de Lançon.

Depuis Valentine, dès 7 heures du matin, le convoi s’engage dans l’A50 en direction de Marseille, puis l’A7 en direction du péage de Lançon. La L2 a quant à elle rouvert à 9 heures. Depuis le Grand Littoral, enfin, à partir de 7 heures, le convoi a emprunté l’A55 en direction de Vitrolles, puis l’A7 en direction de Lyon.

Par ailleurs, la jonction des cortèges du Grand Littoral et de La Valentine, au niveau du tunnel de Vitrolles, a eu un fort impact sur l’accès de Marseille à l’aéroport de Marseille Provence (Marignane), entre 7h et 9h.

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Des secteurs à « éviter »

« L’installation d’une barrière filtrante sur le péage de Lançon-de-Provence dans les deux sens devrait avoir un fort impact sur les temps de circulation », précise la préfecture.

Il invite les utilisateurs “d’anticiper ou de différer leurs déplacements” et d’« éviter les secteurs indiqués ci-dessus et privilégier les itinéraires alternatifs (A55/RN 568, bis de Sénas (RD7N), évitement de Marseille par A52/A8) et de rester prudent à l’approche des points de congestion ».

Réforme des transports sanitaires

Les chauffeurs de taxi sont toujours très en colère contre la réforme des transports sanitaires, qui entraînera selon eux une baisse de leur rémunération. Les tarifs kilométriques devraient en effet passer de 1,60 euros/km à 0,94 euros/km.

Ce vendredi, des manifestants se sont mobilisés devant la CPAM du 9e arrondissement, devant laquelle des pneus ont été brûlés en signe de protestation.

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