Anoussa Kouta, la veuve du défunt compositeur égyptien Mohamed Rahim, a rompu son silence après la grande polémique qui a éclaté lors de ses funérailles, alors que des informations circulaient sur les réseaux sociaux selon lesquelles elle accusait son frère d’être responsable de sa mort.
Nier tout soupçon criminel dans le décès
Dans ses déclarations télévisées dimanche, Anoussa a confirmé que tous les rapports circulant sur les réseaux sociaux concernant la présence de soupçons criminels dans la mort de son mari étaient « faux », soulignant qu’« il n’y avait ni contusions ni égratignures sur son corps ».
Elle a ajouté que son état psychologique était tendu, surtout après qu’elle ait eu une dépression nerveuse lors des funérailles, ce qui a conduit à une dispute avec certains membres de sa famille.
Elle a expliqué que la raison de l’effondrement était le retard dans l’enterrement du corps, ce qui a exacerbé son état psychologique difficile.
Détails des funérailles de Muhammad Rahim et raisons du différend
Les obsèques de Mohamed Rahim, reportées à deux reprises, ont suscité une large polémique, notamment dans le milieu artistique, après la mort subite du compositeur égyptien à l’âge de 45 ans.
Le retard dans l’enterrement du corps a suscité de nombreuses questions, ce qui a provoqué une escalade de la controverse sur le décès et ses circonstances.
Dans ce contexte, la veuve de Rahim a souligné que sa mort était « naturelle » et qu’il n’y avait aucune raison pénale derrière son départ, indiquant qu’elle serait la première à se lancer dans la recherche de justice si des soupçons criminels étaient prouvés.
Départ miséricordieux
Muhammad Rahim est décédé vendredi dernier, laissant derrière lui un riche héritage musical au cours de sa carrière artistique, qui a été témoin de nombreuses collaborations avec de grandes stars de la chanson arabe. Sa mort a été une grande perte dans le monde de la musique, surtout à la lumière des succès qu’il a remportés dans le domaine de la composition.