Virginie Grimaldi figure – avec Kendji Girac – parmi les invités du nouveau numéro deUn dimanche à la campagnee, diffusé cet après-midi à partir de 16h10 sur France 2. Pour ceux qui ne savent pas de qui il s’agit, elle est tout simplement l’une des romancières les plus lues en France depuis plusieurs années maintenant. “L’auteur de 47 ans occupe deuxième place au classement des romanciers les plus lus en France depuis 2020. Forte du succès de son dernier roman Une belle viel’écrivain a vendu 1 062 582 livres en 2023», détaillent nos confrères de Capital.
Poussée par son premier roman Le premier jour du reste de ma viepublié en 2015, elle a enchaîné avec la publication de cinq autres ouvrages, tous devenus des best-sellers. Et malgré tout cela, Virginie Grimaldi subit parfois certaines critiques, qui semblent assez injustifiées au vu du succès qu’elle rencontre. “C’est assez rare, mais Je ressens parfois un certain mépris de la part de certains auteurs ou journalistes», confiait-elle par exemple à parisien en avril dernier.
Comment gère-t-elle toutes ces remarques ? “FJe m’en fiche, je m’en fiche. Ils ont le droit de considérer que je n’ai aucun talent, de ne pas aimer mes romans. Je sais me défendre et l’humour est une arme formidable. Ce qui me dérange en revanche, c’est quand quelqu’un attaque mon lecteur en lui expliquant qu’il aime mes romans parce qu’ils sont incohérents. J’y vois une forme de mépris assez violente.“
Virginie Grimaldi, cette étiquette qu’on lui colle à la peau, ou plutôt à celle de ses livres
Pour rappel, certains de ses romans sont décrits comme des poussins allumés et littérature de bien-être. La première expression fait référence aux livres écrits par des femmes pour un public majoritairement féminin. Et le second a des œuvres dont la principale caractéristique est de donner un sentiment de bonheur. Et c’est cette catégorie qui ne fait pas l’unanimité. Nos collègues de Culture française avait particulièrement essayé de comprendre pourquoi.
Cela ne semble en tout cas pas empêcher celle qui sera marquée à vie par la perte de son bébé de continuer à écrire. Elle ne s’arrêtera pas tant que ses lecteurs lui seront fidèles. Et elle a tout à fait raison !