Le Splendid par le Splendid : On s’est bien amusé !. Tous les membres de la troupe, Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, Bruno Moynot ou encore Michel Blanc, décédé début octobre à l’âge de 72 ans, ont participé à l’écriture de cette livre disponible en librairie à partir du 21 novembre. Pour en faire la promotion, Thierry Lhermitte a répondu aux questions de parisienlors d’une interview publiée ce dimanche 17 novembre. L’occasion pour l’acteur deUn Indien dans la ville pour évoquer la disparition soudaine de son collègue et ami, mais aussi sa rupture douloureuse avec Valérie Mairesse, dont il a partagé la vie pendant plusieurs années, il y a déjà cinquante ans.
Thierry Lhermitte collapsed after his breakup with Valérie Mairesse: “Je ne me suis pas suicidé, mais…”
Lorsque les deux se sont mis en couple, Valérie Mairesse, éphémère membre du Splendid (avant d’être remplacée par Josiane Balasko) n’avait que 19 ans. Leur séparation (à l’initiative de l’actrice) a profondément attristé l’acteur. “Je ne me suis pas suicidé, mais c’était dur. Un chagrin de jeunesse“s’est souvenu celui qui fêtera ses 72 ans le 24 novembre dans les colonnes du quotidien régional. Pour surmonter cette épreuve, Thierry Lhermitte a pu compter sur l’amitié d’un célèbre comédien : « Coluche m’a invité chez lui. J’y allais tout le temps, les autres aussi. Rien de tel que de bons amis pour oublier une déception amoureuse évoquée dans le livre publié à l’occasion des 50 ans de la troupe.
Thierry Lhermitte et Coluche ont vécu “pendant dix-huit mois” en logement partagé
Ce n’est pas la première fois que l’acteur Bronzé un toi Dîner pour les idiots parle de cette période de sa vie. Au printemps dernier, il a accordé une interview à Dimanche à la Tribune à l’occasion de son retour au cinéma dans le film Ne jamais avouer par Ivan Calbérac. En quelques mots, il raconte sa cohabitation mouvementée avec Coluche, avec qui il vivait “pendant dix-huit mois”. « Je venais de me séparer de Valérie Mairesse et [il] m’a proposé d’emménager avec lui rue Gazan au 14ème siècle, à Parisil se souvenait. Chaque soir, il y avait une vingtaine de personnes à dîner et on jouait en même temps Ginette Lacaze à l’Élysée Montmartre. Le dimanche, nous y allions en pyjama sans poser de questions..» Et pour conclure : « Franchement, cette vie était complètement nulle !
Article rédigé 6Medias