Le 8 novembre est une date particulière pour la famille Delon. La raison ? Alain Delon aurait fêté ses 89 ans. Pour l’occasion, un ciné-concert symphonique au Palais des Congrès intitulé Delon, le dernier samouraï » était organisée à Paris en hommage à l’acteur malheureusement décédé le 18 août. De nombreux artistes ainsi que ses deux fils, Anthony et Alain-Fabien étaient réunis pour cette soirée. Et pendant deux heures, plusieurs films de Cheetah dont Plein soleil, M. Klein, Zorro, La piscine, Borsalino ou même Paris brûle-t-il ? ont été projetés devant un public ému. “C’était très émouvant», a déclaré l’aîné de la fratrie, qui était entouré de ses filles, Loup et Liv, ainsi que de leur mère, Sophie Clerico. Ce dernier a confié à nos confrères que cette soirée était avant tout «pour son public » ce qui selon lui, est «le plus important ». “Je pense qu’il était comme nous tous, très ému. Les gens étaient là avec leur cœur. il a observé.
Alain-Fabien, qui était accompagné de sa compagne, Laura Bensadoun, a révélé avoir du mal à cacher ses émotions : «J’ai pleuré plusieurs fois, poursuit Alain-Fabien, c’était une soirée digne de mon père, de son travail et de son amour du cinéma. Il était aussi pour ce projet, avant sa mort”, a indiqué le benjamin de la famille, avant de déplorer l’absence notable de sa sœur, Anouchka : “Il aurait été préférable que nous soyons tous réunis pour cet hommage à notre père et pour soutenir la recherche sur la maladie d’Alzheimer. Ça aurait été sympa qu’elle soit là, surtout que c’est l’anniversaire de papa.»
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Mort d’Alain Delon : cette touchante vidéo de son fils Anthony
A l’occasion de l’anniversaire de son père, Anthony a partagé une vidéo spéciale sur son compte Instagram en hommage à l’acteur décédé à l’âge de 88 ans, à qui il a rendu visite à de nombreuses reprises dans le Loiret. “Après avoir un peu grincé des dents, il a compris l’essentiel… L’amour, la résilience et surtout le pardon. Il savait comme moi qu’on ne peut pas rattraper le temps perdu, mais qu’on peut faire bon usage du temps qui nous est imparti. il a écrit dans la légende de la publication. Et pour continuer : » Nous avons alors décidé de nous réunir à Douchy, deux jeudis par mois pour « instaurer cette tradition » et échanger, laisser une trace de nous, une discussion, dans un document filmé. Il n’est pas parti un jeudi, mais un dimanche j’étais là « Conversation entre un père et son fils »..»
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