« Mon client a signalé aux services de police des faits de violences psychologiques, sexuelles et physiques commises au cours de leur relation, soit depuis près de 4 ans »… Intitulé « Affaire Nekfeu », le communiqué de Me Florence Fekom, avocate de l’ex-femme du rappeur, dénonce “des actes de viols (…) à plusieurs reprises”.
Dans ce communiqué, l’avocate explique que son client « après des années vécues dans le silence et la peur, elle n’a plus d’autre choix que de partager publiquement cette affaire, compte tenu du traitement judiciaire différencié dont elle souffre depuis plusieurs mois. »
Des plaintes multiples, d’un côté comme de l’autre
Selon nos confrères de BFM TV, l’ex-femme du musicien a signalé des faits similaires à la police en 2023, sans porter plainte. En juin 2024, cette fois, elle aurait souhaité porter plainte, ce que les policiers d’un commissariat de Paris auraient refusé. D’autres plaintes avaient été enregistrées par le parquet de Paris : en décembre 2022 pour viol mais non-lieu, en janvier 2024 pour violences, en mai 2024 pour harcèlement.
L’ex-couple, ayant un enfant, est empêtré dans une procédure de séparation houleuse. Prononcé le 28 mars 2024, le divorce prévoit que la résidence de l’enfant soit établie chez le chanteur. Cette dernière a déjà porté plainte, pour des faits survenus entre juillet 2022 et mai 2024, car la femme n’a pas rendu son enfant à plusieurs reprises. La décision était attendue début 2025.
