PORTRAIT – Les proches du jeune homme de 22 ans, décédé d’une balle dans la tête à l’entrée d’une discothèque en Ardèche le soir d’Halloween, sont sidérés par la disparition violente et soudaine de leur camarade, excellent rugbyman et ami. généreux.
Dans les nombreuses photos qui ont circulé depuis sa mort, le maillot bleu ciel et blanc porté par le jeune rugbyman Nicolas Dumas, souriant, avec une barbe qui pousse et des yeux clairs, n’est pas sans rappeler celui de Thomas Perotto, tué un an plus tôt à Crépol. . Les deux garçons, l’un âgé de 22 ans, l’autre de 16 ans, étaient membres du même club de rugby, le RC Romanais Péageois. Tous deux y avaient de nombreux amis, partageaient les mêmes valeurs de camaraderie, d’excellence sportive et de sens de l’effort. L’un est allé à l’école à Romans-sur-Isère, l’autre y a vécu. Près d’un an jour pour jour après Thomas, Nicolas Dumas a été tué ce vendredi 1er novembre à l’entrée d’une discothèque en Ardèche, d’une balle dans la tête.
A l’hôpital, où le jeune homme a été admis en urgence absolue avant de succomber à ses blessures samedi après-midi, sa mère est restée à son chevet jusqu’au bout. Gwladys Dumas accuse le coup. « Je n’arrive pas à y croire. Tout est fini maintenant.elle a confié…
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