La lecture de ce contenu peut entraîner le dépôt de cookies par l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte tenu des choix que vous avez exprimés concernant le dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies « Contenu tiers » en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Lire la vidéo
ÉTATS-UNIS – À cinq jours du scrutin, Donald Trump ne souhaite décidément pas faire profil bas. Lors d’un de ses derniers meetings de campagne, dans l’État clé du Wisconsin, l’ancien président américain a profité d’un défaut technique sur son bureau pour mimer une fellation, devant un public forcément hilarant, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de l’article.
Ce vendredi 1er novembre, à l’endroit où il a été officiellement investi par le camp républicain en juillet dernier, Donald Trump s’est fait remarquer avec cette séquence, où tout a commencé avec un micro mal positionné à son goût.
Critiquant vivement la manière dont il a été organisé, il s’est plaint à plusieurs reprises, après avoir indiqué que la seule chose qu’il demandait sur scène était un bon micro, affirmant qu’il n’avait besoin de rien d’autre, même d’aucune tribune pour s’exprimer. Il finit donc par rejouer son arrivée sur scène, découvrant le micro défaillant, en déclarant : « J’arrive, et voilà le problème : c’est trop bas, c’est trop bas ! « .
La scène se poursuit avec Donald Trump mimant une fellation sur le pied de micro avec ses mains, puis sa bouche, devant un public engagé dans sa cause et donc forcément hilarant, comme on peut le voir en arrière-plan lorsque ses partisans positionnés dans son dos découvrent le scène sur les écrans du Fiserv Forum à Milwaukee.
Dernière ligne droite
Donald Trump a poursuivi en frappant le pied du micro, toujours » beaucoup trop bas », expliquant que « il n’y a rien de pire » pour lui. Il a encore prolongé la séquence en expliquant avoir été contraint de se pencher en début de rencontre, avant de prendre le micro en main. ” Tout le monde se demandait si j’avais un problème de dos.» s’est-il permis d’ajouter, provoquant de nouveaux rires et applaudissements de la foule.
Un geste obscène qui n’aura sans doute aucun impact sur cette fin de campagne menée avec vigueur par Donald Trump et Kamala Harris, la moindre polémique étant vite remplacée par une autre. Les deux candidats à la Maison Blanche ont tenu plusieurs réunions de dernière minute dans des États clés avant les élections du 5 novembre.
D’ailleurs, au moment de ce geste vulgaire, sa rivale démocrate était également dans le Wisconsin pour une série de trois meetings où elle appelait ironiquement à « tourner la page d’une décennie de Donald Trump», qui a bouleversé la démocratie américaine et « nous a épuisé ».
Ce duel à distance entre les deux candidats doit se poursuivre jusqu’à lundi, veille du vote. Donnant lieu à une escalade verbale illimitée. A l’image des propos de Donald Trump à l’encontre du vice-président américain, accusé de “détester” les Américains, quand Kamala Harris le juge “instable”mais surtout “obsédé par la vengeance” de l’élection de 2020 qu’il n’a jamais vraiment admis avoir perdue.
Voir aussi sur Le HuffPost :
La lecture de ce contenu peut entraîner le dépôt de cookies par l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte tenu des choix que vous avez exprimés concernant le dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies « Contenu tiers » en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Lire la vidéo
