Gênes-Fiorentina 0-1
Fidèle 6 : encore une fois, il fait ce qu’il peut. Mais, encore une fois, il doit s’incliner et ramasser le ballon au fond du sac.
Vogliacco 5 : la responsabilité du but incombe principalement à celui qui trompe Gosens à l’occasion du but vainqueur.
Vásquez 6,5 : il porte les galons de général, commandant avec autorité une unité défensive qui ne subit pas de souffrance particulière face à la meilleure attaque du moment. Et en finale, il a même failli marquer un but qui aurait valu à Grifone un match nul mérité.
Maturro 6 : Immédiatement dangereux dans la surface de la Viola, il gère les attaques de ses adversaires sans souci particulier
Sabelli 6.5 : un but est dévoré au bout d’un quart d’heure mais cela garantit toujours un mouvement perpétuel dans les deux phases du jeu.
(34′ rue Zanoli SV)
Frendrup 6: 100ème jeton en rossoblù pour celui qui est peut-être le seul joueur vraiment irremplaçable sur le plateau de Gilardino. Son utilité est inversement proportionnelle à sa visibilité. Traduit : ça brille peu mais ça fait beaucoup.
Chardon 6: pas au meilleur de sa forme, essaie de se débrouiller pendant qu’il a du carburant
(dal 14′ st Miretti 5: a encore du mal à rentrer dans les mécanismes tactiques de Gilardino)
Thorsby 6: joue de case en case, courant d’une zone à l’autre avec la double tâche de couvrir et d’essayer de frapper. (par 34′ st Pereiro SV: soirée dont il ne se souviendra que pour ses débuts en rossoblù)
Martin 6,5 : affronte Dodò sans jamais donner au Brésilien l’occasion de créer de sérieux problèmes à l’arrière-garde rossoblù.
Pinamonti 6.5: La proximité d’Ekhator lui permet de se sentir moins seul devant. Et quand il le peut, comme à son habitude, il essaie de laisser sa trace. C’est dommage que de Gea bouleverse leurs plans.
Ékhator 6 : donne du poids, des centimètres et de la fraîcheur à l’attaque du rossoblù rapiécé mais ne parvient jamais à être incisive.
(dal 26′ st Machine 5,5 : prendre du recul par rapport aux bons débuts d’il y a deux semaines contre Bologne)
Annexe A. Gilardino 6 : sans dix joueurs et en attendant que Balotelli lui apporte le poids offensif qui continue de faire défaut, il met en crise la meilleure équipe du moment avec un match soigné et ordonné. Des caractéristiques cependant insuffisantes pour retrouver une victoire qui manquait depuis plus de deux mois.