«Nous voulons lutter contre toutes les formes de trafic, lutter contre le trafic de drogue parce qu’il fragilise les deux rives de la Méditerranée, parce qu’il mine la confiance dans nos deux pays.», a déclaré le président Macron.
Emmanuel Macron a déclaré mercredi que la France et le Maroc avaient “noué” et « partenariat renforcé » verser “lutte contre l’immigration clandestine” et «toutes les formes de trafic»invoquer « une exigence de résultat ».
«Nous voulons, Maroc et la France ensemble, lutter contre toutes les formes de trafics, lutter contre l’immigration clandestine et les réseaux qui l’exploitent, lutter contre la criminalité organisée, lutter contre le trafic de drogue car il fragilise les deux rives de la Méditerranée, car il mine la confiance dans nos deux pays. C’est un partenariat renforcé que nous instaurons, une exigence très forte, une confiance, le respect des règles de chacun, une exigence de résultats au rendez-vous »a déclaré le président français à l’issue d’une visite d’Etat de trois jours à Rabat. « C’est un partenariat renforcé que nous instaurons, une exigence très forte, une confiance, le respect des règles de chacun, une exigence de résultats au rendez-vous »il a insisté.
La question migratoire a été au cœur des désaccords entre Paris et Rabat ces dernières années. La France avait réduit de moitié le nombre de visas accordés aux Marocains en 2021-2022 pour pousser le royaume à reprendre davantage de ses ressortissants expulsés par les autorités françaises, entraînant de fortes tensions diplomatiques. Les ministres de l’Intérieur des deux pays ont discuté mardi de cette question des réadmissions de ressortissants marocains en situation irrégulière, que la France souhaite expulser sans toujours y parvenir, notamment faute de laissez-passer consulaires en provenance du Maroc.
Le Français Bruno Retailleau avait alors assuré de leur volonté commune d’agir sur les procédures « identification des personnes dont l’origine n’est pas documentée »pour « raccourcir les délais » et «faire mieux en termes de nombre de personnes réadmises». Mais Emmanuel Macron a estimé mercredi qu’il ne fallait pas mélanger ce sujet avec la possibilité de « se déplacer plus facilement, plus facilement »entre les deux pays, notamment en matière d’échanges culturels ou autres.
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