durabilité. L’une des particularités de ce concours est le montant des gains cumulés pour les gagnants, avec un fonds de récompense d’un million de dollars. Des photographes de 205 pays y ont participé et la cérémonie a eu lieu à Dubaï, au Musée du Futur.
Un grand prix pour la durabilité
Le grand prix de 200 000 $ a été décerné à Liping Cao, un photographe chinois, pour son travail intitulé Quiet Power. Cette photographie, prise avec un Canon EOS 5D Mark III, montre des éoliennes sous un ciel spectaculaire. Il illustre la rencontre entre nature et technologie et incarne parfaitement le thème de la durabilité. Un autre Chinois, Ruijuan Huang, a remporté la catégorie Durabilité
avec une vue aérienne intitulée Harnessing the Sun, montrant un champ de panneaux solaires dans le Guangdong, un exemple d’intégration harmonieuse des énergies renouvelables dans un paysage naturel.
Les autres catégories récompensées
En plus de la durabilité, d’autres catégories étaient présentes pour refléter la diversité de la photographie. Le prix de la catégorie Couleur
a été attribué à l’Indien Rahul Sachdev pour Resilience, portrait d’un rhinocéros éclairé par les rayons du soleil au Kenya.
Dans la catégorie noir et blanc, l’Américaine Renee Capozzola a remporté un prix pour Bond of the Deep, une photo représentant une baleine et son petit dans les eaux tahitiennes.
Tobias Friedrich, photographe allemand, a remporté le prix de la catégorie Sportif
avec Nuances de Glace, une image spectaculaire capturée sous les glaciers du Groenland.
Autres photographes récompensés
En plus des récompenses individuelles, HIPA a également récompensé des personnalités influentes du secteur. Jimmy Nelson a reçu le Prix d’appréciation
pour la photographie, accompagné de 100 000 dollars, pour son travail de rapprochement des cultures.
Le Syrien Samy Al Olabi a été nommé Photographe de l’année pour ses images de paysages célestes. Ces distinctions illustrent l’ambition de HIPA de promouvoir l’art photographique tout en sensibilisant aux enjeux culturels et environnementaux.
Cependant, il est important de noter que le fait que ce prix soit organisé et décerné à Dubaï peut soulever des questions, le pays n’étant ni un modèle écologique ni un exemple en matière de droits de l’homme. Les photographes primés sont néanmoins incroyablement talentueux.
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