Transformation du domaine Douchy, lieu de résidence d’Alain Delon dans un musée ? Pour son fils, Anthony Delon, cela permettrait
“cette maison perdure d’une manière ou d’une autre.”
Alain Delon est décédé le Le 18 août dernier à 88 ans. Depuis, de nombreuses questions se posent autour de sa succession, d’autant plus que l’acteur y est enterré. « Il ne souhaitait pas que cela devienne un lieu public. On verra, mais nous sommes trois enfants (…) J’aimerais que ça devienne un musée.» a-t-il déclaré ce dimanche au micro de RTL.
Le domaine Douchy : futur musée après le deuil
Pourquoi cette idée si Alain Delon n’en avait pas parlé avant sa mort cet été ? “J’aimerais ça, comme pour Gainsbourg et les autres. argumente-t-il avant de parler pour la première fois de son deuil. « Tous les gens qui ont construit ma vie, qui ont fait de moi ce que je suis devenu, sont partis. Il faut du temps pour s’y habituer. »
Son fils aîné a également ressenti le choc de sa mort :
« J’ai réalisé, même au niveau international, que
sa mort a été une explosion.“ réalise Anthony, réalisant “de l’icône qui a disparu.” Il avait écrit ces mots sur
Instagram au moment de sa mort : “RIP Papa (…) L’enfant n’oublie jamais, car il continue de vivre en nous jusqu’à notre dernier souffle.”
Le domaine Douchy : très cher !
L’acteur de 88 ans l’avait prévenu avant sa mort : ses enfants ne pourront pas reprendre Douchy ! « Douchy partira avant moi. » il a expliqué à Gala.
“Personne n’aura les moyens de soutenir Douchy. Je les ai obtenus grâce à mes soixante ans de carrière, mes collections, mais Douchy est hors de prix. Ma fille voulait l’avoir, mais elle s’est rendu compte que c’était financièrement impossible… »
L’acteur craignait même que ses enfants se déchirent, notamment sur l’avenir de Douchy : « Je fais tout pour que cela n’arrive pas.» a-t-il confié au magazine. “Je ne Je ne voudrais pas que mes enfants se déchirent comme les Hallyday. Je prépare tout en ce moment. Nous ne devrions pas être surpris. Tout sera réglé avant ma mort, que cela me plaise ou non. Si je ne le faisais pas, ce serait un chagrin, une guerre entre eux, j’en suis sûr… »