La Tribu Yonnaise élude domicile dans l’ancien musée de La Roche-sur-Yon

Les gérants de la Tribu Yonnaise Idoia Hemery-Dreyfuss et Sacha Wrobel. IJ – MATHIEU MARIN

Au cœur de La Roche-sur-Yon près de la place Napoléon, Tribu Yonnaise vient d’ouvrir ses portes. Quatre ans après sa fermeture, le site de l’ancien musée reprend vie avec cette brasserie d’une superficie d’environ 800 m². Côté rue Clemenceau, l’entrée de la brasserie permet de s’immerger directement dans les cuisines. Face au comptoir, une trentaine de places permettent aux clients de manger face aux cuisiniers. Les autres pièces représentent chacune un pays : Espagne, Russie, Egypte… « On garde l’âme du lieu avec de multiples tableaux comme un clin d’œil à l’ancien musée »explique Idoia Hemery-Dreyfuss, gérante de la brasserie avec son associé Sacha Wrobel.

Lire aussi
Naissance du concept « La Tribu » aux Herbiers

Un bar à cocktails au premier étage

Une quarantaine de salariés animeront ce nouvel espace de vie, ouvert sept jours sur sept, doté de 180 places assises à l’intérieur et d’une terrasse extérieure d’une centaine de places assises. Une quinzaine de plats sont au menu, « avec des produits locaux et 100% faits maison », dans une fourchette de prix de 15 € à 40 €. A l’étage, un bar à cocktails, ouvert de 17h à minuit, est accessible depuis la rue Jean-Jaurès. « Le grand escalier d’époque rappelle le passé et la terrasse extérieure double la capacité selon la saison. » explique Sacha Wrobel, fils d’Eric, bien connu à Nantes pour son restaurant La Prison du Bouffay.

Deuxième restaurant du concept « La Tribu »

Si les jeunes entrepreneurs, familiers du métier de bouche, restent discrets sur l’investissement, ils concèdent volontiers que « le lancement de la Tribu Yonnaise est tout un défi après le coup de cœur et les quatre années de mise en place du projet ». Le concept « La Tribu » se décline en Vendée pour la deuxième fois après l’ouverture d’un établissement similaire aux Herbiers en 2023. « L’objectif est de réussir ce défi en s’implantant durablement dans le paysage yonnais. Mais la Tribu peut encore grandir si des opportunités se présentent. »conclut Sacha Wrobel.