Le Prix Ilan Halimi a été officiellement lancé le 12 novembre par Othman Nasrou, secrétaire d’État chargé de la citoyenneté et de la lutte contre les discriminations, en présence de la DILCRAH et de plusieurs partenaires, engagés dans la lutte contre le racisme et les discriminations. antisémitisme.
Le Prix Ilan Halimi a été créé en 2018 par la DILCRAH dans le cadre du Plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Ce prix souligne l’engagement des jeunes contre l’ignorance et les stéréotypes.
Elle porte le nom d’Ilan Halimi, ce jeune Français kidnappé, séquestré et torturé parce qu’il était juif, victime de la haine antisémite.
Le prix vise à promouvoir la mobilisation des jeunes contre les actes et discours haineux à travers des projets de terrain très concrets. Cette action peut par exemple relever des domaines culturels, sportifs, numériques ou de l’intervention publique. Le jury est composé de personnalités indépendantes de la DILCRAH.
Ce prix vise à récompenser ceux qui se mobilisent et qui, par leur créativité et leur inventivité, s’engagent à réduire les préjugés. Les candidatures doivent être déposées avant le 31 décembre 2024 et les finalistes seront invités à Paris en février 2025 pour une présentation orale de leur action devant le jury et les autres candidats qualifiés.
Qui peut postuler ?
Le prix Ilan Halimi récompense des groupes de jeunes de moins de 25 ans qui mènent des projets de sensibilisation afin de réduire les préjugés racistes et antisémites. Cette année, un prix étudiant est créé.
Depuis sa première édition, la DILCRAH a reçu de nombreuses candidatures dans le contexte scolaire, universitaire ou associatif, dans les domaines du sport, de la culture ou de l’histoire, pour la réalisation de podcasts, de films, de livres, d’expositions, de spectacles vivants, pour recueillir des témoignages ou faire des recherches. archives, etc
C’est un véritable foisonnement d’initiatives qui témoignent de la vitalité des jeunes lorsqu’il s’agit de réaliser des projets concrets favorisant la fraternité, le respect de l’altérité, la solidarité et l’ouverture aux autres.
Quels types de projets sont attendus ?
Depuis sa première édition, la DILCRAH a reçu de nombreuses candidatures dans le contexte scolaire, universitaire ou associatif, dans les domaines du sport, de la culture ou de l’histoire, pour la réalisation de podcasts, de films, de livres, d’expositions, de spectacles vivants, pour recueillir des témoignages ou faire des recherches. archives, etc. C’est un véritable foisonnement d’initiatives qui témoignent de la vitalité des jeunes lorsqu’il s’agit de réaliser des projets concrets favorisant la fraternité, le respect de l’altérité, la solidarité et l’ouverture à l’autre.