Deux ans après la première saison, les créateurs de la série politico-judiciaire « Pandore » pointent cette fois-ci les menaces qui pèsent sur les libertés individuelles.
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Co-responsable du MAD, Journaliste au service Culture
By Cédric PetitPublié le 11/04/2024 à 18h17
Temps de lecture : 2 minutes
LLe bras de fer n’était pas terminé. La fin relativement ouverte de la première saison de la série Pandore suggérait que, si la politique l’emportait sur la justice, le mal contre le bien, l’homme contre la femme, l’injustice contre la morale, avec l’accession du machiavélique Marc Van Dyck (Yoann Blanc) au ministère de la Justice, lorsque la juge Delval (Anne Coesens) se voyait dépossédée de ses responsabilités, le moment de la résolution n’était pas encore venu. Pour rappel, ce thriller politico-judiciaire de la RTBF diffusé en 2022 racontait la bagarre à distance entre un juge et un homme politique (très à droite sur l’échiquier) autour du viol d’une jeune fille, exploitée par ce dernier pour servir son ambitions électorales.
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