“J’ai raté une centaine d’épisodes, ce n’est pas rien !” Benjamin Baroche inquiet pendant son absence dans la série, il explique pourquoi

Avis aux amoureux deIci tout commence : Le chef Teyssier est bientôt de retour ! Il faudra toutefois encore faire preuve d’un peu de patience avant de le voir déambuler dans les couloirs de l’Institut Auguste Armand, car il ne réapparaîtra que dans l’épisode 1037, diffusé le vendredi 1er novembre 2024. À l’approche de cette date importante, Benjamin Baroche , l’interprète du colérique Emmanuel Teyssier, a accordé une longue interview à nos confrères de TV Grandes Chaînes, dans laquelle il a fait d’étonnantes confidences.

Ici tout commence : « Être oublié était un risque… » Benjamin Baroche revient sur cette peur provoquée par son absence

Pour mémoire, Benjamin Baroche a fait une pause dans la fiction culinaire pour jouer dans la mini-série Rien ne t’efface, adapté du roman de Michel Bussi et coproduit par Dominique Farrugia. Mais visiblement, il n’avait pas l’esprit tranquille puisque, auprès de nos confrères, il s’est confié sur sa peur d’être… oublié des téléspectateurs de la série de TF1 ! « J’ai raté une centaine d’épisodes, ce n’est pas rien ! Quand je suis parti un peu plus de quatre mois, j’avais conscience qu’être oublié était un risque. Avant d’ajouter : “Mais je sais à quel point les téléspectateurs sont attachés au personnage de Teyssier.”

Ici tout commence : « Cela montre l’impact de notre métier… » Benjamin Baroche évoque les liens qu’il a tissés avec le public du feuilleton

Lors de cette interview, l’acteur de 53 ans est également revenu sur sa relation avec les nombreux fans deIci tout commence : « A mon retour au château de Saint-Laurent-d’Aigouze [lieu de tournage de la série, ndlr]certains m’ont dit : “Tu es vraiment de retour ?” C’était touchant ! Il fallait les rassurer.» Le mécène de la Fondation France Sclérose en Plaques s’est souvenu avec émotion du témoignage d’un téléspectateur : « Il y a des téléspectateurs qui vous disent que vous êtes leur antidépresseur, c’est quand même très fort ! Je me souviens, il y a quelque temps, d’une femme qui m’écrivait que son père était décédé. Et qu’avant de mourir, les seuls moments de bien-être qu’il avait étaient lorsqu’il regardait notre feuilleton. Cela montre l’impact que notre profession peut avoir dans la vie des gens… »